Vendredi 30 août 2019 : Manifestation de soutien au Peuple Vénézuélien – Paris – 18H00

« MANIFESTATION DE SOUTIEN AU PEUPLE VENEZUELIEN »

 Statue équestre de SIMON BOLIVAR

Le Vendredi 30 août 2019 à 18H00

Cours la Reine

75008 PARIS

Métro : Champs-Élysées – Clemenceau.

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Une délégation des Clubs « Penser la France », emmenée par Jean-Luc Pujo, assistera à cette manifestation.

Sommet du G7 : «Le G7 est un format complètement dépassé» selon Jean-Luc Pujo (RT FRANCE – dimanche 25 août 2019)

LA MARSEILLAISE par Roberto ALAGNA – Bon 14 juillet à tous !

Mardi 18 JUIN 2019 : Manifestation « Appel du 18 juin » – PARIS – « Penser la France ».

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 « Je me souviens » et « je résiste ! »

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APPEL à TOUS LES PATRIOTES !

RETROUVER L’ESPRIT DU CNR !

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« Les leçons de l’APPEL DU 18 JUIN » – discours de Jean-Luc Pujo (Penser la France) – 18 juin 2019 – Paris

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Compte-rendu de la Manifestation du 18 juin 2019 Paris – 

Communiqué « Penser la France »

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Comme chaque année, les Clubs « Penser la France »

organisent un rassemblement pour célébrer

« L’Appel du 18 juin » !

MARDI 18 JUIN 2019 à 18H00

LIEU : 48 rue du Four, 75006 PARIS 

Métro MABILLON

immeuble où se déroula la première réunion clandestine du CNR en mai 1943* 

*Rue du Four, la Résistance réalise son unité et, dès sa création, le CNR se range derrière de Gaulle. Le CNR n’est l’instrument ni de la droite ni de la gauche. Par sa composition même, il est le reflet de la France en lutte dans sa diversité.

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 Au programme :

– Lecture de « l’Appel du 18 juin 1940 du général de Gaulle »

– Prise de parole : JLuc Pujo pour « Penser la France »

puis prises de parole des Invités Communistes et Gaullistes !

– « Chant du départ » de 1794.

Contact : penserlafrance@yahoo.fr – 01.73.64.98.68 –

JLuc PUJO – 06.83.23.66.64

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VISITER l’HISTORIAL CHARLES DE GAULLE

«Pour une refondation humaniste et républicaine contre le duopole LEPEN/MACRON» Discours de Jean-Luc Pujo – 29 mai 2019 – Paris (Penser la France)

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MANIFESTATION du « 29 MAI »

Paris – Les Tuileries – Mercredi 29 mai 2019

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Chers compagnons,

Chers camarades, Chers amis,

Le 29 mai 2005, les Français ont rejeté par référendum le projet constitutionnel de l’Union européenne présenté comme le summum de la modernité démocratique et du progrès humain.

Après ce vote – véritable séisme politique – les milieux d’affaires ont décidé de porter au pouvoir Nicolas SARKOZY pour corriger cette erreur honteuse.

Réunis en Congrès à Versailles, en février 2008, sur convocation du nouveau président de la République, Nicolas SARKOZY,  les partis  politiques – dans leur grande majorité –  ont adopté la révision constitutionnelle préalable à l’adoption du Traité de Lisbonne, véritable copier-coller de la Constitution européenne rejetée 3 ans auparavant par les Français.

Ce vote est une trahison infâme. C’est une trahison du peuple souverain – Une trahison de la Nation – Une trahison de la République.

Car nous le savons : « Seul le peuple souverain peut défaire ce que le peuple souverain a fait lui-même! »

Depuis ce vote indigne, nous nous réunissons ici aux Tuileries chaque « 29 mai » à l’appel d’André BELLON et de son association « Pour une Constituante », et chaque année nous le remercions pour cette initiative hautement politique.

Oui ! Le 29 mai 2005, reste un moment crucial où la Nation française a parlé !

Où « la France a fait entendre sa voix souterraine » comme disait GAMBETTA.

Ce jour-là, la France a dit « NON » ! Elle pensait « NON » ! Elle pense toujours « NON ».

Mais depuis le vote du Congrès de Versailles, en février 2008, la parole de la Nation a été confisquée.

Depuis la trahison du Traité de Lisbonne, nous pouvons considérer que « le peuple de France est aux arrêts ».

Aussi, ce soir, nous affirmons comme priorité et condition sine qua non : Acte 1, Il faut « Libérer le peuple de France ».

*

Cette année, notre manifestation prend une saveur particulière après des élections européennes lamentables qui en disent long sur la situation politique de notre pays, sur le malaise profond de notre démocratie.

Depuis des mois, certains d’entre nous participent au grand mouvement de colère politique des « Gilets Jaunes », c’est le cas des Clubs « Penser la France » ; d’autres continuent patiemment à tisser les liens d’une démocratie à refonder, c’est le cas justement de l’association « Pour une constituante ».

Toutes ces actions sont complémentaires. Il faut les poursuivre, les amplifier.

Cependant, nous ne pouvons pas ignorer les difficultés qui sont devant nous.

Ces difficultés sont multiples même si notre diagnostic est juste.

*

Il y a dix ans – Place de la Bastille – le 29 mai 2010, je dénonçais un « système de manipulation généralisée », un système de fascisme soft, une espèce de « FUNKY FASCISUM ! ».

« C’est moderne, c’est jeune, c’est branché … Mais c’est du fascisme. »

Mieux, aujourd’hui, nous pouvons constater que le système complexe de domination que nous subissons a élaboré et érigé jusqu’à sa propre contradiction.

Nous sommes tous piégés alors que nous nous croyons des Hommes libres.

Nous croyons choisir librement ce que le système a décidé – par mille ressorts tactiques, par mille modes d’influence – de nous voir sélectionner.

Nous sommes devenus des esclaves modernes dans un système technico-financier-industriel dont les mass-médias – véritables outils de manipulation sophistiqués – assurent le triomphe sans que nous ressentions la moindre impression d’assujettissement.

Les chaines sont invisibles, indolores, parce que nous « pensons » déjà enchaînes.

Nous pouvons ainsi affirmer comme priorité et condition préalableActe 2, Il nous faut « briser les chaines mentales qui nous sont imposées ». (…)

Le système maîtrise parfaitement son propre équilibre général en maîtrisant sa propre contradiction. Comment ?

Le face à face entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen résulte d’une construction totalement arbitraire et artificielle.

En effet, ces deux propositions politiques imposées par le système sont doublement vicieuses : d’une part, elles ne permettent pas de répondre aux enjeux nationaux et aux défis mondiaux actuels ; d’autre part, elles sont directement importées par le biais d’écoles de pensées étrangères à toute pensée politique française.

Je le répète : les deux options proposées par le système sont des options importées, étrangères au modèle français.

L’une, le Rassemblement National, hérité du Front National, irriguée par une profonde pensée d’extrême droite – même aujourd’hui maquillée aux couleurs d’un pseudo-républicanisme – puise son ressort idéologique dans une boite à idée étrangère : C’est la boite à idée de Steeve BANON.

C’est lui qui a instruit Marine LEPEN à la dichotomie Mondialiste/National-patriotes.

Elle n’a que ce modèle à la bouche depuis qu’elle l’a reçu de ce leader nord-américain.

L’autre, La République en Marche, véritable arlequin de la politique française puise son existence dans la déshérence de tous les autres partis politiques, rassemblant médiocres et ambitieux – j’allais dire tous les ratés – du parti socialistes, tous les ratés de l’UMP, tous les ratés d’Europe écologie les verts.

Le ressort idéologique du Macronisme puise tout autant que l’autre dans une boite à idée étrangère : C’est la boite à idée de la techno-banque-mondialisée, celles de Goldman Sachs et de Rothschild réunis.

Aussi, nous pouvons le constater : il n’y a plus de pensée française.

Nous sommes en train d’en finir avec le modèle français comme avec toute pensée politique française.

*

Mais alors il faut nous interroger …

Mais c’est quoi une pensée politique française ?

Précisément, c’est ce qui manque au fondement des deux idéologies qui nous sont imposées.

Ce qu’ont en commun les deux options imposées par le système dominant est complexe.

Elles ont en commun un manquement immense.

Aucune de ces idéologies ne relève du champ de la pensée humaniste française.

L’une – dite national/patriote – porte un humanisme dévoyé.

L’autre – dite techno-banque-mondialisée – est foncièrement un anti-humanisme.

Le divorce que nous vivons actuellement est bel et bien un divorce avec un modèle de pensée française hérité de la Renaissance et structurée dès le XVIIIème siècle par une pensée républicaine qui l’a décliné, encore jusqu’à très récemment à gauche avec le socialisme et le communisme ; à droite, avec la démocratie-chrétienne et le gaullisme.

Tout cela a cessé d’exister.

Un gouffre est ouvert devant nous.

ALORS « QUE FAIRE ? »

*

Les défis à relever sont immenses.

A l’époque moderne, chaque fois que la France s’est retrouvée en situation de faillite spirituelle et philosophique, elle a su puiser la force du sursaut dans ce grand courant humaniste et républicain.

Ce grand courant a encore sauvé la France aux pires heures de l’effondrement en 1940.

Le programme du Conseil National de la Résistance de 1943 est un programme hautement républicain et hautement humaniste. Qui l’a oublié ?

C’est cette force qui a fait la solidité intellectuelle, philosophique et politique d’une nouvelle grandeur Française.

Et c’est bien là que nous devons aujourd’hui puiser à nouveau l’essence d’un sursaut national.

Ce soir, nous pouvons dire que nous sommes vraisemblablement à la veille d’un cataclysme politique :

Les derniers résultats électoraux donnent à penser que la majorité des villes moyennes en France vont basculer en mars 2020 vers le Rassemblement National alors que les grandes métropoles vont basculer en quasi-totalité vers la majorité présidentielle.

Le pays est profondément divisé avec un taux d’abstention, de bulletin blanc et nul supérieur à 50%. Les Français – vous le savez- sont écœurés.

A cette division, s’ajoutera dorénavant une fracture territoriale exacerbée entre Métropole et territoire français.

Le jeu pervers imposé par un Système malade est en train – tout simplement – de détruire la France.

Plus que jamais, nous devons redoubler d’ardeur.

Plus que jamais, nous devons réaffirmer notre croyance en la République exemplaire – ce que nous appelons, nous, l’hyper-république au service d’une pensée humaniste retrouvée.

Acte 3 : Il nous faut travailler à refonder un grand mouvement humaniste et républicain prenant source première dans chacune des Communes de France.  La Commune est le cœur battant de la Nation.

C’est tout le travail mené par le Nouveau Conseil National de la Résistance auquel je vous invite à participer avec le souci de repenser les institutions à travers l’action essentielle de « Pour une Constituante ».

Gardons foi en la France.

Gardons foi en la République.

Je vous remercie.

Jean-Luc Pujo*

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*Jean-Luc Pujo est écrivain, président des Clubs « Penser la France » et rédacteur en chef du journal en ligne Politique-actu.com

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CONTACT: penserlafrance@penserlafrance.fr – 01.73.64.98.68

Les Clubs « Penser la France » travaillent au soutien de plusieurs initiatives politiques de refondation autour d’un  « nouveau Conseil National de la Résistance » réunissant communistes authentiques et gaullistes authentiques et au-delà tous citoyens militants pour l’indépendance de la France.

Les Clubs « Penser la France » militent pour les trois sorties immédiates : Sortie de l’OTAN – Sortie de l’UE – Sortie de l’EURO.

Source: www.penserlafrance.fr

« Les leçons de l’APPEL DU 18 JUIN » – discours de Jean-Luc Pujo (Penser la France) – 18 juin 2019 – Paris

[Photo : Son excellence Monsieur Mujica, ambassadeur de la République bolivarienne du Venezuela en France ; M. André Bellon, (absent de la photo) président de « Pour une Constituante », ancien député, ancien président de la commission des affaires étrangères de l’Assemblée nationale ; Mme Annie Lacroix-Riz, historienne, professeur émérite d’histoire contemporaine, membre du Pole de renaissance du communisme en France (PRCF) ; M. Rastbeeen, président de l’Académie de géopolitique de Paris ; M. Alain Corvez, Conseiller en stratégie internationale, militant gaulliste ; M. Etienne Tarride, écrivain, ancien avocat au barreau de Paris, gaulliste de gauche et Jean-Luc Pujo ]

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DISCOURS de Jean-Luc PUJO –

président des Clubs « Penser la France »

– Anniversaire de l’APPEL DU 18 JUIN –

18 juin 2019 – Paris 

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Chers Compagnons

Chers Camarades,

Chers amis,

Tous les 18 juin, nous nous réunissons ici même – au 48 rue du FOUR (1) à Paris – pour commémorer une des pages les plus glorieuses de notre histoire contemporaine.

Nous nous réunissons ici pour « nous souvenir » et pour « nous inspirer » !

Nous souvenir – bien sûr – de cet appel du 18 juin 1940, quand un Général plein de panache lança de Londres un « Appel » à la Résistance et au Combat.

Des femmes, des hommes étaient déjà en train de se lever, partout en France, auteurs souvent isolés de gestes désespérés mais plein de courage.

Nous pensons, ici, à l’appel de Charles Tillon, le 17 juin, au nom du Parti communiste clandestin…

Ainsi, petit à petit, vinrent les élans partagés…

Communistes, Gaullistes,  républicains fidèles à Valmy, militants monarchistes, syndicalistes respectueux de leurs revendications, socialistes dignes de l’héritage patriotique et internationaliste de Jaurès, chrétiens, laïques … « Ceux qui croyaient au Ciel et Ceux qui n’y croyaient pas »(2)… TOUS se rejoignirent dans le Conseil National de la Résistance (CNR) organisé par Jean MOULIN que nous admirons tant.

Ici et maintenant – nous voulons nous souvenir de ces Femmes, de ces Hommes, qui prirent le risque de la fidélité et de l’engagement :

« POUR LA FRANCE» !   « FORS L’HONNEUR » !

*

Nous sommes réunis ce soir – également – pour nous inspirer !

Les leçons à tirer aujourd’hui de cet « APPEL DU 18 JUIN » sont nombreuses.

L’an passé, ici même nous avons tiré une première leçon.

Vous vous souvenez !

Il ne suffit pas de s’appeler « Gouvernement » pour être le « gouvernement de la France » !

Il ne suffit pas de s’appeler « Parlement » pour être le « parlement de la France » !

Face à « l’apparence de la Légalité », face aux « institutions apparentes », il y a la légitimité, la véritable légitimité, celle que donne le peuple SOUVERAIN et lui-seul.

Et quand un PARLEMENT piétine la souveraineté NATIONALE … il commet alors le pire des Crimes contre la Nation, le pire des Crimes contre la Démocratie.

C’était le cas hier – en 1940 – avec le vote des pleins pouvoirs à PÉTAIN.

C’est le cas aujourd’hui – avec le vote scélérat du 4 février 2008 (3) – par lequel le Parlement français a effacé le vote Référendaire du 29 mai 2005, exprimé par le peuple souverain.

OUI ! À piétiner la Souveraineté du Peuple, le Parlement a perdu toute légitimité et avec lui, toutes les mandatures successives validant tour à tour ce vote indigne !

C’est ainsi que nous avions conclu notre première leçon :

Il ne suffit pas de s’appeler « Gouvernement » pour être le « gouvernement de la France » !

Il ne suffit pas de s’appeler « Parlement » pour être le « parlement de la France » !

*

Mais aujourd’hui, ce soir, nous pouvons – nous devons –  tirer une nouvelle leçon !

Chaque fois que la France – traversant une profonde crise – se retrouve face à elle-même, face à son destin, qu’elle s’interroge sur son propre devenir…

Chaque fois que la France est menacée de l’extérieur comme de l’intérieur par tous ces reniements qui mettent en péril son essence comme son esprit, alors des Hommes se lèvent – des femmes et des hommes – qui renouent avec l’esprit élevé de la France, avec son esprit intime.

Mais quel est donc l’esprit élevé de la France, son esprit intime ?

Quel est cet esprit qui élève la Nation comme chacun des femmes et des hommes  qui la constitue ?

C’est précisément celui qui manque aujourd’hui au DUOPOLE MACRON/LEPEN, imposé par le système…

C’est précisément l’esprit qui renoue avec la double filiation … humaniste et républicaine.

Et c’est cet esprit qui fut réactivé dans et par le programme du CONSEIL NATIONAL DE LA RESISTANCE.

C’est cet esprit qui a assuré – comme plusieurs fois dans l’histoire moderne de la France – le véritable redressement national auquel nous aspirons tous.

La voilà la DEUXIEME leçon que nous voulons tirer ce soir !

OUI ! L’appel du 18 juin – cet appel plein de panache – a trouvé son aboutissement – j’allais dire – sa propre transcendance – dans l’élaboration du Programme du Conseil National de la Résistance, programme hautement humaniste, hautement républicain.

Aujourd’hui, à l’heure de notre effondrement national, effondrement qui chaque jour prend les allures d’un nouveau MUNICH, qui chaque jour un peu plus entraîne l’effacement de la NATION au profit d’une Union Européenne pilotée par un capitalisme fou, servi par des élites qui ne croient plus jamais en la France … placée sous contrôle OTAN.

Aujourd’hui, dans cette période d’effondrement politique national, nous devons chercher un chemin nouveau à bâtir !

Comment ne pas comprendre que le chemin est là …

Qu’une fois de plus, la France, le redressement de la France passe par ce ressourcement ?

Que notre soif de Liberté, d’Egalité et de justice Fraternelle, cette soif  immense ne trouvera à s’étancher qu’en puisant à cette source les valeurs exemplaires – hautement humanistes, hautement républicaines – celles portées par le programme du Conseil National de la Résistance ?

*

OUI ! Nous pouvons le dire : Les leçons à tirer de « l’APPEL du 18 JUIN » sont des leçons magistrales !

Elles sont des leçons de pleine actualité pour la France, aujourd’hui.

*

Plus que jamais, nous devons garder « foi en la France », « foi dans la Nation »…

Quelles plus belles leçons pour les militants humanistes et Républicains que nous sommes, amoureux transis de la France ?

Je vous remercie.

Jean-Luc Pujo*

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*Jean-Luc Pujo est écrivain et militant républicain. Il préside les Clubs « Penser la France ». Il est aussi rédacteur en chef du journal d’actualité en ligne « Politique-actu.com »

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(1) Dans cet immeuble, au 48 rue du Four, se déroula la première réunion clandestine du CNR en mai 1943. La Résistance réalise son unité et, dès sa création, le CNR se range derrière de Gaulle. Le CNR n’est l’instrument ni de la droite ni de la gauche. Par sa composition même, il est le reflet de la France en lutte dans sa diversité.

(2) Inspirée de la Formule d’Aragon – « La rose et le Reseda »;

(3) Congrès du Parlement – Séance du lundi 4 février 2008 – vote scélérate du Traité de Lisbonne – Débat – http://www.assemblee-nationale.fr/13/cri/2007-2008/99020416.asp#P43_1172

« HOMMAGE à Lucien PONS » (Les Clubs « Penser la France »)

– Communiqué du 18 mai 2019 – 

C’est avec stupéfaction que nous apprenons la disparition brutale de Lucien PONS.

Croisés de très nombreuses fois sur le terrain militant – notamment à Paris devant l’ambassade de Grèce ou au téléphone s’activant pour organiser une énième rencontre en pays niçois – Lucien PONS incarnait cet engagement indéfectible au service de la France, de la République, de l’indépendance nationale.

Pour tous ceux qui l’ont approché, il était un  homme chaleureux, exceptionnel.

De très nombreux projets nous unissaient à lui, notamment la mise en place patiente des  « Comités de libération nationale » et bien sûr du Nouveau Conseil National de la Résistance (Nouveau CNR).

Dernièrement, c’est avec sourire que nous avions appris qu’il était – comme nous à Paris – pleinement engagé au sein du mouvement des Gilets Jaunes.

Toujours sur le terrain. Toujours le combat. Toujours dans sa région.

Au détour d’une vie d’engagement, nous le savons, les corps parfois s’échappent.

Et quel corps ! Quelle allure ! Celui d’un ancien joueur de rugby, toujours direct, toujours généreux…

Comment dire – ce soir – notre immense tristesse humaine et citoyenne ?

Les Clubs « Penser la France » adressent à ses proches et à sa famille leurs condoléances les plus sincères.

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Les Clubs « Penser la France » travaillent au soutien de plusieurs initiatives politiques de refondation autour d’un  « nouveau Conseil National de la Résistance » réunissant communistes authentiques et gaullistes authentiques et au-delà tous citoyens militants pour l’indépendance de la France.

Les Clubs « Penser la France » militent pour les trois sorties immédiates : Sortie de l’OTAN – Sortie de l’UE – Sortie de l’EURO.

Source: www.penserlafrance.fr

EUROPÉENNES 2019 : « Pour un BOYCOTT CITOYEN et PATRIOTIQUE ! » (Penser la France)

Jeudi 21 mars 2019,

Printemps.

 

L’Union européenne est le lieu consacré de tous les mensonges.

Le premier des mensonges consiste à affirmer que l’Union européenne est l’Europe alors qu’elle ne travaille qu’à sa désintégration, à la soumission de ses peuples, constitués en nation.

Le second des mensonges consiste à faire croire que l’Union européenne travaille à la prospérité des peuples et des nations d’Europe alors que précisément elle organise leur assujettissement à un ordre néolibéral, nouveau laboratoire de la gouvernance mondiale [1].

Le troisième des mensonges consiste à proclamer que l’Union européenne fabrique la paix, alors que l’Union européenne inféodée à une OTAN belliciste, fabrique des peuples eunuques incapables d’assurer leur propre défense, dans un monde de plus en plus instable.

En un mot, l’Union européenne, c’est la mise en danger des peuples et des nations d’Europe.

Pour l’ensemble de ces raisons, l’Union européenne doit être combattue, abattue.

*

Véritable village Potemkine de la démocratie, l’Union européenne est une trahison de tous les instants de l’immense promesse portée par Athènes et par Rome [2].

Aucune des institutions européennes ne remplit le rôle qui lui est assigné.

La Commission européenne – organe technocratique illégitime – dicte aux gouvernements, donc aux peuples, des politiques néolibérales que précisément les peuples rejettent chaque jour.

Pis que tout, le Parlement européen – sans aucun pouvoir législatif – incarne ce mensonge supérieur en dissimulant la nature réelle de cette Union européenne, en dénaturant le travail des parlements nationaux, sans contrepartie.

Le Parlement européen est une insulte permanente à la haute culture politique des nations de notre continent.

Et comment ne pas comprendre que par sa nature même – antipolitique et antidémocratique – l’Union européenne est précisément l’ennemie de la France, nation politique par essence ?

Pour l’ensemble de ces raisons, l’Union européenne doit être combattue, abattue.

*

Parce que ces élections dites « européennes » sont une immense supercherie, rien ne saurait justifier la participation à des élections truquées au service d’un système entièrement contaminé.

Aucun mouvement patriotique digne de ce nom ne saurait prétendre changer l’essence même de l’Union européenne en participant à une élection faussée pour un parlement sans pouvoir.

Prétendre le contraire c’est mentir deux fois aux Français : c’est mentir sur le devenir de la France, c’est mentir sur le devenir de l’Europe.

Tous les Hommes politiques ainsi compromis devront répondre devant la Nation.

Il n’y a pas d’autre alternative : l’Union européenne doit être combattue, abattue.

*

Enfin, les Clubs « Penser la France » lancent une mise en garde solennelle aux Français.

Participer à ces élections faussées, c’est donner crédit à une fausse agora citoyenne, c’est courir le risque certain de se voir imposer demain des choix absolument contraires à l’intérêt de notre peuple, de notre nation.

*

Pour l’ensemble de ces raisons, les Clubs « Penser la France » appellent solennellement l’ensemble des Français à boycotter magistralement  les élections européennes 2019.

*

 « BOYCOTT  CITOYEN et PATRIOTIQUE ! »

Pour la France, pour l’Europe.

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Les Clubs « Penser la France » travaillent au soutien de plusieurs initiatives politiques de refondation autour d’un  « nouveau Conseil National de la Résistance » réunissant communistes authentiques et gaullistes authentiques et au-delà tous citoyens militants pour l’indépendance de la France.

Les Clubs « Penser la France » militent pour les trois sorties immédiates : Sortie de l’OTAN – Sortie de l’UE – Sortie de l’EURO.

Source: www.penserlafrance.fr

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[1] « L’Union européenne est depuis près de 60 ans un laboratoire pour la coopération supranationale transfrontalière, c’est tout naturellement qu’elle se pose en championne de la gouvernance mondiale » José Manuel BARROSO, ancien président de la Commission européenne, le nouvel employé récompensé de Goldman Sachs ;

[2] « Il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités Européens ! » proclame ainsi l’infâme Jean-Claude JUNKER en janvier 2015, reconnaissant ainsi la nature profondément antidémocratique de l’UE ;

« L’Elysée ou la Nef des fous » (Penser la France)

[Conférence de presse du président de la République à l’issue du Grand débat pour répondre à la crise politique et sociale incarnée par les Gilets Jaunes jeudi 23 avril 2019]

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Communiqué national du lundi 29 avril 2019

« On jugerait mieux en cherchant

A percer ce qu’on ne voit pas »

Sébastien BRANT – La Nef des fous – 1492

Le Roi XERXES – devenu fou dit-on – condamna la mer furieuse qui venait de détruire le pont flottant, illimité, à sa démesure, comme son Hubris.

Dans sa folie, XERXES ordonna de fouetter la mer.

Sûr de commander aux éléments, d’autres prétendent aujourd’hui rebâtir notre chrétienne Olympe en cinq ans, à peine. On rit sous cape ou l’on se tait – saisis.

Millions d’Hommes, milliers de bateaux. Le bâtisseur déploie tout son art, sa techné.

Triomphe à la romaine.

1.932.884 contributions en ligne, 10.134 réunions locales, 16.337 communes ayant ouvert des cahiers de doléances, 27.374 courriers et courriels. 12 millions d’Euro. Des centaines d’heures de direct télévisé autour d’un égo quasi-divinisé.

Des chiffres en avalanche. Tel un écrasement de Légions romaines.

Comme un Caligula moderne – porté par une liesse fanatisée de journalistes, analystes, et autres faussetés –  le voilà de mépris et de morgue rentrées pour ce peuple frappé, blessé, moqué.

Mais qui donc dira la vérité ?

Le peuple est bien souvent le savant d’une chose : A roi fou, peuple sage !

Heureux Gilets Jaunes !

Heureuse fraternité dans les rues qui s’offrent, qui se donnent.

Faut-il lire Hérodote  ou bien relire Suétone ?

Comme XERXES, comme CALIGULA, la « Nef des fous » va passer, la « Nef des fous » passera.

Car le crime toujours suit le triomphe acheté, imposé.

Ainsi va l’histoire des Hommes.

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Pour la 23ème semaine consécutive, les Clubs « Penser la France » demandent solennellement au Président de la République, de redonner la parole au Peuple, qui s’exprimera ainsi dans le cadre de nos institutions.

Il faut dissoudre l’Assemblée Nationale pour que de nouvelles élections générales offrent une réponse politique, démocratique et institutionnelle à la juste colère des Français.

Enfin, à la veille de ces nouveaux jours de mobilisation du Mercredi 1er mai et du samedi 4 mai 2019, les Clubs « Penser la France » adressent à nouveau à tous les Français l’appel solennel à « poursuivre, amplifier, durcir» le grand mouvement populaire des « Gilets Jaunes ».

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Les Clubs « Penser la France » travaillent au soutien de plusieurs initiatives politiques de refondation autour d’un  « nouveau Conseil National de la Résistance » réunissant communistes authentiques et gaullistes authentiques et au-delà tous citoyens militants pour l’indépendance de la France.

Les Clubs « Penser la France » militent pour les trois sorties immédiates : Sortie de l’OTAN – Sortie de l’UE – Sortie de l’EURO.

Source: www.penserlafrance.fr

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Samedi 11 mai 2019 : « Fête nationale de Jeanne d’Arc – Fête du patriotisme » (Penser la France)

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A Jeanne d’Arc 

LE PEUPLE FRANÇAIS RECONNAISSANT 

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« Fête nationale de Jeanne d’Arc – Fête du patriotisme »

conformément à la Loi du 10 juillet 1920*

– hommage national des Clubs « Penser la France » –

Le deuxième dimanche du mois de MAI – jour de la libération d’Orléans

soit cette année le Dimanche 12 mai 2019 

jeannedarc1

Les clubs Penser la France célébreront la Fête patriotique – Fête Jeanne d’Arc :

Le samedi 11 mai 2019 – 19H00

*

« Fête nationale de Jeanne d’Arc – Fête du patriotisme »

discours de jean-Luc Pujo (Penser la France) – PARIS – Samedi 11 mai 2019

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– 19H00 : Statue de Jeanne d’Arc place SAINT AUGUSTIN Paris – 8ème arrondissement – Métro : Saint Lazare (Discours politique & hommage républicain)

– 19h45 : Soirée exceptionnelle – rencontre-signature avec Jean-Michel SALGON auteur du tout nouveau « Dictionnaire des souverainismes de droite et de gauche » –  Restaurant LE MARESQUIER – 12 place Saint Augustin 75008 Paris (Apéritif et/ou dîner)

(Contact : 06.83.23.66.64 ou penserlafrance@penserlafrance.fr )

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*La loi du 10 juillet 1920 qui institue une fête nationale de Jeanne d’Arc, fête du patriotisme, est toujours en vigueur.

Sous la statue cette phrase : « Jeanne d’Arc (1412-1431) à l’âge de dix-sept ans entreprend de chasser les ennemis hors de France. Elle fait lever le siège d’Orléans, détruit l’armée anglaise à Patay, conduit Charles VII à Reims et le fait sacrer roi. Blessée en voulant délivrer Paris, elle est prise devant Compiègne et brûlée vive par les Anglais à Rouen. Elle avait dix-neuf ans. »