Mercredi 15 MARS 2023 : #reformedesretraites – NIET ! (#PenserlaFrance)

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« RETRAITE à 64 ans ?

Jamais ou l’art du mensonge d’E. Macron » –

Pascal Praud & Dominique Jamet

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Les Clubs « Penser la France » participeront – partout où cela est possible en France – à la mobilisation contre la Réforme des retraites #Macron.

Inutile ici de déployer de longs discours: Réforme injuste, inefficace … imposée par Bruxelles.

Nous avons relayé les analyses du COR qui démontrent l’inutilité de repousser l’âge légal du départ en retraite.

Pour les Clubs « Penser la France »,

la #reformedesretraites de #Macron,

c’est NIET !

A Paris, une délégation emmenée par Jean-Luc Pujo participera

à la manifestation nationale du Mercredi 15 MARS 2023 à Paris

– Place des INVALIDES – 13H45 –

06.83.23.66.64

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Communiqué intersyndical 11 mars 2023 – APPEL pour le 15 MARS 2023

A l’occasion de cette septième journée de mobilisation, ce sont à nouveau des centaines de milliers de salarié-es, jeunes, retraité-es qui se sont mis en grève et qui sont descendus dans la rue pour une nouvelle fois dire non au départ à la retraite à 64 ans et à l’allongement de la durée de cotisation.

L’intersyndicale unie dénonce le mépris dans lequel s’obstine Emmanuel Macron qui refuse de la recevoir.

Parce que l’intersyndicale entend faire grandir le rapport de force en complément des mobilisations en cours et continuer à démontrer que l’immense majorité de la population reste déterminée à dire non à ce projet de loi, elle demande solennellement au gouvernement d’organiser une consultation citoyenne à ce sujet dans les plus brefs délais.

La pétition intersyndicale a recueilli plus d’un million de signataires, c’est largement au-dessus du nombre de signataires nécessaire pour que le parlement s’en saisisse.

L’intersyndicale soutient et encourage tous les secteurs professionnels à poursuivre et amplifier le mouvement pour obtenir le retrait de ce projet de loi.

D’ores et déjà elle appelle à une nouvelle journée de grèves et de manifestations le mercredi 15 mars, jour de la commission mixte paritaire et moment important du calendrier parlementaire.

Elle se réunira à nouveau le 15 mars au soir.

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PHOTOS DE LA MANIFESTATION

DU SAMEDI 11 MARS 2023

11 mars 2023 H.JPG

MANIFESTATION #ReformedesRetraites – Samedi 11 mars 2023 – Paris

Lieutenant-Colonel Commando Marine – Parfois Jean-François entame une discussion franche et amicale avec les CRS… si vous voyez ce que je veux dire !

#JlucPujo #JMichelSalgon

https://www.facebook.com/media/set?vanity=jeanluc.pujo&set=a.10160684526049100

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COMMUNIQUE DE PRESSE INTERSYNDICAL

Pour la journée du Samedi 11 MARS et celle du 8 MARS, journée de la Femme

Le gouvernement doit dès maintenant retirer son projet !

Depuis le 19 janvier, la population se mobilise massivement contre la réforme des retraites. Les différentes journées à l’appel de toutes les organisations syndicales et de jeunesse ont rassemblé des millions de travailleurs et travailleuses, jeunes et retraité.e.s.

Le 16 février, face à l’absence de réponse du gouvernement et du président de la République, l’intersyndicale a appelé à mettre la France à l’arrêt le 7 mars. Elle est forte du soutien des 3/4 de la population et de 94% des actifs qui refusent le recul de l’âge légal de départ à 64 ans et l’allongement de la durée de cotisations.

Aujourd’hui encore, ce sont plus de 3 millions de travailleurs et travailleuses, du public comme du privé, jeunes et retraité.e.s, qui se sont mobilisés, par la grève et/ou la manifestation.

C’est une journée historique par l’ampleur de ces grèves et de ces mobilisations. Des milliers d’écoles et de lieux d’études fermés, des entreprises privées, des administrations, et des villes à l’arrêt. Plusieurs centaines de manifestations et d’actions sur l’ensemble du territoire pour demander le retrait du projet de loi retraites.

A ce jour, ces mobilisations énormes conduites par une intersyndicale unie n’ont reçu aucune réponse de la part du gouvernement. Cela ne peut plus durer. Le silence du président de la République constitue un grave problème démocratique qui conduit immanquablement à une situation qui pourrait devenir explosive. En responsabilité, l’intersyndicale adressera un courrier lui demandant à être reçue en urgence pour qu’il retire sa réforme.

C’est forte de cette détermination exprimée aujourd’hui que l’intersyndicale soutient et encourage tous les secteurs professionnels à poursuivre et amplifier le mouvement.

L’intersyndicale appelle à se saisir du 8 mars pour pointer la détérioration particulière de la situation des femmes avec ce projet de réforme. L’intersyndicale soutient l’appel spécifique des organisations de jeunesse à se mobiliser jeudi 9 mars et appelle à rejoindre les rassemblements et manifestations, notamment à Paris, place de la République.

L’intersyndicale appelle à une nouvelle mobilisation interprofessionnelle ce samedi 11 mars puis dès la semaine prochaine, à une journée de manifestations et de grève, le jour de la commission mixte paritaire, moment important du calendrier parlementaire. Elle appelle toute la population à continuer la mobilisation et les actions, encore plus massivement pour dire non à cette réforme injuste et brutale.

Paris, le 7 mars 2023

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COMMUNIQUE POUR LE MARDI 7 MARS 2023

Ensemble, le 7 mars, mettons la France à l’arrêt !

Les organisations syndicales et de jeunesse saluent la mobilisation de ces millions de travailleurs.euses, jeunes, retraité.e.s qui, depuis le 19 janvier, expriment leur opposition à cette réforme des retraites. Ils et elles sont déterminé.e.s à empêcher le recul de l’âge légal à 64 ans et l’allongement du nombre de trimestres, ce qui aurait pour effet de faire aussi baisser plus rapidement leurs pensions.

Malgré la propagande du gouvernement qui ne convainc pas du bien-fondé de sa réforme, l’écrasante majorité de la population comme 90% des salarié.e.s font preuve de « bon sens » et rejettent cette réforme brutale, inacceptable et inutile.

En opposition à ce projet de réforme des retraites, l’unité des organisations syndicales a construit un mouvement social solide, déterminé, ancré dans le paysage social de tout le pays. Il révèle également l’inquiétude face à la désertification des territoires, le manque de services publics, les incertitudes en matière d’emploi, de salaires et de pouvoir d’achat.

En complément de ces manifestations, c’est plus d’un million de personnes qui ont signé et diffusent la pétition en ligne proposée par les organisations syndicales. Cette opposition à la réforme touche désormais toutes les strates de la population.

Malgré cela, le gouvernement et le président de la République restent sourds et dégradent la cohésion sociale du pays en refusant toujours de retirer ce projet injuste.

C’est pourquoi, comme annoncé lors du précédent communiqué le 11 février, l’intersyndicale réaffirme sa détermination pour mettre la France à l’arrêt le 7 mars prochain en appelant les travailleurs.euses à participer massivement aux manifestations et à se déclarer en grève.

Les organisations syndicales professionnelles et de jeunesse continuent leurs actions d’information et de conviction pour élargir encore le mouvement social. Le 7 mars doit être une véritable journée morte dans les entreprises, les administrations, les services, les commerces, les écoles, les lieux d’études, les transports…

Pour y parvenir, elles organisent partout régulièrement de nombreuses initiatives publiques sur les lieux de vie et appellent la population à y participer.

Elles interpellent localement les parlementaires sur la base du courrier commun qui leur a été adressé, pour

qu’ils votent contre cette réforme.

Elles se saisissent du 8 mars, journée internationale de lutte pour les droits des femmes, pour rendre visibles les conséquences particulièrement graves de ce projet pour elles.

Elles agissent avec les organisations de jeunesse qui militent sur leurs lieux d’études pour élargir encore le rejet de cette réforme des retraites particulièrement injuste. Elles soutiennent aussi leur mobilisation du 9 mars pour améliorer notamment le système des bourses d’études.

Ensemble, dès le 7 mars, mettons un coup d’arrêt à ce projet de réforme des retraites inacceptable.

Paris, le 21 février 2023

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#Francophonie : « Censure visant les défenseurs et promoteurs de la langue française et de la Francophonie – Protestation du Haut Conseil international de la Langue française et de la Francophonie (HCILFF) auprès de l’#ARCOM

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À Paris, le 8 mars 2023

À Monsieur Roch-Olivier Maistre,

Président de l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (ARCOM),

 39-43, Quai André Citroën

75739 Paris cedex 15

 

Objet : protestation contre une censure de facto visant les défenseurs et promoteurs de la langue française et de la Francophonie.

Copie pour information, et intervention éventuelle à : Monsieur François Legault,  Premier Ministre, et Madame Martine Biron, Ministre des Relations internationales et de la Francophonie, au Québec ; Madame Audrey Azoulay, Directrice Générale de l’UNESCO ; Madame Rima Abdul Malak, ministre de la Culture et de la Communication, chargée de la Langue française ; Mesdames et Messieurs les Sénateurs et Députés ; Mesdames et Messieurs les Académiciens français et Goncourt ; Institutions et associations de défense et promotion de la langue française et de la Francophonie ; médias français.

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Monsieur le Président de l’ARCOM,

Au nom du Haut Conseil international de la Langue française et de la Francophonie (HCILFF) et des 38 associations de défense et promotion du français qui en sont membres, nous, soussignés, protestons avec indignation contre la censure de fait qui a suivi l’attribution du prix annuel attribué le 15 décembre 2022 par l’Académie de la Carpette anglaise (Communiqué de presse du 19/12/2022 joint).

À notre connaissance, un seul organe de l’audiovisuel public a signalé que ce prix, signe d’infamie linguistique et civique, a été attribué à M. Emmanuel Macron, Président de la République française, « lauréat » pour la France, et à M. Justin Trudeau, Premier Ministre du Canada, « lauréat » à titre étranger. Cela en raison des agressions linguistiques répétées qu’ils ont commises l’un et l’autre, que ce fût directement, indirectement ou par omission, tant à l’encontre de la langue française et de la Francophonie, que du fait de leur complaisance affichée envers la banalisation de l’anglais dans leur pays et sur la scène internationale.

Cette censure médiatique de fait a indigné quantité de personnes attachées, d’une part à la langue française, si méprisée, humiliée et malmenée par ceux-là mêmes auxquels incombe la charge constitutionnelle de la défendre, d’autre part à un droit des citoyens à l’information et à l’expression. Ces droits essentiels perdent en effet toute portée pratique dès lors que les médias publics décrètent, sans jamais avoir eu à s’en expliquer devant le peuple ou devant le Parlement, que certaines informations n’auraient a priori aucun intérêt pour les citoyens.

Nous demandons aux médias publics d’informer correctement les citoyens et de les laisser choisir eux-mêmes, sans filtrage d’État, ce qui les intéresse ou pas !

À ce mensonge par omission permanent à propos du Prix de la Carpette anglaise s’ajoute une longue liste de censures de fait visant les promoteurs du français :

– Déjà les 15 janvier et 20 mars 2022, aucune chaîne publique télévisuelle ou radiophonique ne s’est déplacée ni renseignée téléphoniquement auprès de nos organisateurs de rassemblements de rue à Paris, notamment le 20 mars 2022 au Panthéon, pour la « langue de Molière » et contre le tout-anglais déferlant l’année même du 400ème anniversaire de la naissance du grand dramaturge.

– Déjà aucun média public ne s’était signalé lorsque nos associations avaient organisé une conférence de presse à l’Assemblée nationale en 2015 pour dénoncer la colonisation linguistique de notre pays par les tenants de l’empire. Pourtant, cette conférence était soutenue par deux députés (un communiste et un gaulliste) ; et des scientifiques et écrivains de premier plan lui apportaient leur parrainage, tels M. Claude Hagège, linguiste mondialement connu, et M. Laurent Lafforgue, Médaille Fields de mathématiques.

– Rien ou quasi-rien non plus dans nos médias d’État sur les politiques d’éviction du français au profit de l’anglais qu’impulsent présentement certains États du Maghreb et de l’Afrique subsaharienne, encouragés par de grandes puissances tant rivales qu’« amies ».

– Rien chez nous, à l’inverse, sur la récente et bienvenue contre-offensive législative du gouvernement québécois. Celui-ci a en effet, par sa remarquable « loi 96 » du 24 mai 2022, durci sa législation protectrice du français. Le ministre québécois porteur, invité le 23 juin par l’Académie française, a lancé sous la Coupole un vibrant appel à un sursaut de la France. Là encore, le « service public de l’audiovisuel » financé par tous les contribuables a préféré ensevelir cet appel dans un silence proprement scandaleux !

Si l’expression « loi du silence » paraît désormais à certains inappropriée ou inintelligible et si, désormais, nos institutions arbitrales et autres n’entendent plus le vocabulaire pourtant précis de notre langue, faudra-t-il désormais parler d’omertà à propos de la politique linguistique inavouée de notre pays ? Qui donc, au plus haut niveau des chaînes et des institutions de l’Etat, a décidé, dans le dos des parlementaires et du peuple français qui n’en ont jamais débattu, de favoriser une politique cynique d’arrachage, de substitution et de basculement linguistiques qui n’ose jamais affronter le débat sur la place publique. En effet, la masse des citoyens la rejetteraient encore aujourd’hui avec horreur. Mais elle pénètre et infuse insidieusement, en toutes occasions, par l’entremise des médias, notamment d’État, et des réseaux dits sociaux dominés par le monde anglo-saxon.

Nous pourrions hélas citer bien d’autres cas de mépris de fait manifesté par les directeurs de l’information des médias publics à l’encontre des associations dénonçant la politique inavouée d’anglicisation de la France, notamment dans l’Université et dans l’Éducation nationale. Les très rares émissions évoquant la langue française sur les chaînes publiques portent essentiellement sur le mésusage du français par les jeunes générations. Comme si nombre de journalistes publics incapables de maîtriser la grammaire et le vocabulaire, et de prononcer correctement à l’antenne, pouvaient faire la leçon aux jeunes…Ou les émissions sur la question importante, certes, mais plus « latérale », de l’écriture dite inclusive. De telles émissions-alibi, complétées de temps à autre par les interventions de prétendus spécialistes du français, toujours les mêmes, chargés de répéter au bon peuple que « le français se porte bien », ne font « pas le poids », alors que le danger le plus grave qui menace notre langue est celui de son éviction systématique autant qu’illégale au profit de l’anglais, ou du « globish », dans maints domaines : culturel, commercial, technique et numérique, scientifique, voire scolaire, universitaire, militaire, politique, sportif, voire institutionnel.

Aucun écho non plus n’a été donné par les médias d’État, malgré tous nos efforts, à la création le 18 juin 2020 de notre Haut Conseil international LFF. Pas plus qu’aux messages qu’il a adressés à diverses reprises au Président de la République, aux députés et sénateurs ainsi qu’à la présidente de la Commission européenne, et qu’à son recours devant le Tribunal européen (CJUE) à propos de la marginalisation de fait de toute autre langue que l’anglais. Cette langue est en effet devenue – post-Brexit ! – « langue commune » dans les institutions centrales de l’UE par un coup d’État linguistique de Mme Ursula von der Leyen hors de sa compétence et contraire à l’esprit et à la lettre des traités et autres textes européens  qui font obligation à l’UE de respecter la « personnalité de chaque État-membre », personnalité dont la langue est évidemment un élément central. Décision outrageante, dont nul n’a eu à connaître ni à débattre au Parlement européen, ni au Parlement français, ni au Bundestag et autres, et qui n’a, nous semble-t-il, trouvé aucun écho dans les émissions d’« information » des chaînes publiques ! Plus grave encore, notre Haut Conseil a dû, toujours sans écho médiatique, souligner publiquement que le Président de la République, qui s’était engagé envers lui à utiliser son semestre 2022 de présidence du Conseil européen pour y remédier, n’a pas honoré ses engagements. Même les « oppositions » se sont tues.

Cette censure de fait méthodique semble bien relever d’une « loi du silence » d’État visant tous ceux qui s’efforcent de faire respecter la Constitution (article 2 : « La langue de la République est le français ») et la loi Toubon de 1994. Elle est indigne d’une démocratie. Elle attente gravement aux droits des citoyens et de tous les francophones de France. Nous demandons donc instamment que l’ARCOM intervienne publiquement afin que cessent de telles pratiques inavouées, car inavouables. Il convient que leurs responsables soient vertement rappelés à leurs devoirs régaliens, civiques et déontologiques les plus élémentaires.

Le français est le premier service public de France, le porteur toujours fécond d’une riche culture désormais mondiale. Il constitue aussi le ciment de la Francophonie internationale et de ses centaines de millions de locuteurs et d’usagers. Il est aussi le premier outil de travail des journalistes du service public de l’audiovisuel et du numérique, lesquels vivent de l’argent des contribuables dont nous, membres des associations de promotion du français et de la Francophonie, faisons partie.

Nous vous remercions par avance, Monsieur le Président, de bien vouloir nous répondre, et recevoir au plus tôt une délégation de notre Haut Conseil.

Si ce courrier devait rester sans réponse malgré l’urgence, ce serait avec une infinie tristesse que nous le diffuserions sans tarder le plus largement possible dans tout l‘espace francophone. La loi du silence sur l’inavouable politique « française » et européenne de basculement au tout-anglais de nos espaces doit cesser ! Un large débat démocratique est urgent sur cette question, et nous ferons désormais tout pour l’imposer.

Avec les salutations civiques et francophones les plus distinguées – et les vifs espoirs – de nos associations, veuillez, Monsieur le Président, recevoir du Haut Conseil l’expression de sa haute considération et de nos sentiments les meilleurs.

Associations signataires :

Haut Conseil international de la Langue française et de la Francophonie (HCILFF, liste des membres jointe), Albert Salon, ancien ambassadeur, Secrétaire général ; Alliance Champlain (Nouvelle Calédonie), Daniel Miroux, président ; Association de Défense et d’Études de la Langue française de l’Yonne (ADELFY), Ange Bizet, président ; Association Francophonie Avenir (AFRAV), Thierry Saladin, Secrétaire général ; Avenir de la Langue française (ALF), Catherine Distinguin, présidente ; CO.U.R.R.I.E.L., Georges Gastaud, président, et Matthieu Varnier, Secrétaire général ; Centre d’études et de Réflexion sur le monde francophone (CERMF)  Ilyès Zouari, président ; Défense de la Langue française (DLF), Marceau Déchamps, Secrétaire général ; Défense de la langue française en Pays de Savoie, Philippe Reynaud, président et Lucien Berthet, vice-président et Secrétaire général Droit de Comprendre (DDC), Marc Favre d’Échallens, Secrétaire général ; Entente Île-de-France/QuébecSerge Dubief, président ICEO (Institut de Coopération avec l’Europe Orientale – Montpellier), Jean-Marie Roussignol, Secrétaire général ; Langue française (collectif suisse), Philippe Carron, président ; clubs Penser la FranceJean-Luc Pujo, président.

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PAGE CONSACREE :

HCILFF logo

Haut Conseil international de

la Langue française et de la

Francophonie

(UCILFF)

Samedi 11 MARS 2023 : #reformedesretraites – NIET ! (Penser la France)

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« RETRAITE à 64 ans ?

Jamais ou l’art du mensonge d’E. Macron » –

Pascal Praud & Dominique Jamet

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Les Clubs « Penser la France » participeront – partout où cela est possible en France – à la mobilisation contre la Réforme des retraites #Macron.

Inutile ici de déployer de longs discours: Réforme injuste, inefficace … imposée par Bruxelles.

Nous avons relayé les analyses du COR qui démontrent l’inutilité de repousser l’âge légal du départ en retraite.

Pour les Clubs « Penser la France »,

la #reformedesretraites de #Macron,

c’est NIET !

A Paris, une délégation participera à la manifestation nationale du 11 MARS 2023

– Place de la République – 13H50 – La république est une statue.

06.83.23.66.64

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COMMUNIQUE DE PRESSE INTERSYNDICAL

Pour la journée du Samedi 11 MARS et celle du 8 MARS, journée de la Femme

 

https://www.politique-actu.com/opinion/mardi-mars-2023-reformedesretraites-niet-penser-france/1829078/

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SAMEDI 11 FEVRIER 2023 : #reformedesretraites – NIET ! (Penser la France)

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Les Clubs « Penser la France » participeront – partout où cela est possible en France – à la mobilisation contre la Réforme des retraites #Macron.

Inutile ici de déployer de longs discours: Réforme injuste, inefficace … imposée par Bruxelles.

Nous avons relayé les analyses du COR qui démontrent l’inutilité de repousser l’âge légal du départ en retraite.

Pour les Clubs « Penser la France »,

la #reformedesretraites de #Macron,

c’est NIET !

A Paris, une délégation emmenée par Jean-Luc Pujo participera à la manifestation nationale du 11 février 2023

13H00 – Place de la République angle bld Voltaire

Contact : 06.83.23.66.64

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COMMUNIQUE DE PRESSE INTERSYNDICAL

Face au rejet massif, le gouvernement doit retirer sa réforme.

A l’appel de l’ensemble des organisations syndicales, ce 31 janvier a confirmé la très forte détermination à refuser le projet de réforme des retraites présentée par le gouvernement.

Plus de 2,5 millions travailleurs et travailleuses, du public comme du privé, jeunes et retraité.e.s, se sont mobilisés, par la grève et/ou ont manifesté sur l’ensemble du territoire. Cette mobilisation d’ampleur fait suite à celle du 19 janvier qui avait rassemblé près de 2 millions de personnes. La jeunesse s’est particulièrement mobilisée aujourd’hui pour refuser la précarité grandissante que promet le gouvernement.

La population soutient les revendications des organisations syndicales qui s’opposent au recul de l’âge légal de départ à 64 ans et à l’allongement de la durée de cotisations. 9 travailleurs sur 10 rejettent la réforme, 2/3 de la population soutiennent les mobilisations.

Personne ne s’est laissé tromper par la propagande du gouvernement.

Les organisations syndicales dénoncent ainsi le mail du ministre de la Transformation et de la Fonction publique, envoyé tant à des agents publics qu’à des salariés de droit privé, présentant une liste d’arguments en faveur de la réforme des retraites.

Les organisations syndicales n’acceptent pas les propos tenus par la Première ministre, ce dimanche, indiquant que, selon elle, « l’âge de départ à 64 ans n’est plus négociable ». Pour les organisations syndicales le recul de l’âge de départ n’a jamais été négociable ! Les propositions alternatives formulées par elles sont toutes restées lettre morte ! Cela démontre le jusqu’au-boutisme du gouvernement, sourd au rejet exprimé par la totalité des organisations syndicales et l’immense majorité des citoyens.

Rien ne justifie une réforme aussi injuste et brutale. Le gouvernement doit entendre le rejet massif de ce projet et le retirer.

L’intersyndicale appelle toute la population à se mobiliser par la grève et la manifestation encore plus massivement le mardi 7 février puis le samedi 11 février pour dire non à cette réforme.

Elle appelle, d’ici là, à multiplier les actions, initiatives, réunions ou assemblées générales partout sur le territoire, dans les entreprises et services, dans les lieux d’études, y compris par la grève.

L’intersyndicale se réunira le mardi 7 février au soir. Paris le 31 janvier 2023

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« Vœux 2023 aux Français » par Jean Luc Pujo, président des clubs «Penser la France»

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Vœux 2023 aux Français – Vœux de Vérité ! Vœux de Combats »

par Jean-Luc Pujo, président des clubs «Penser la France»

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En substance : Vœux 2023 aux Français – Vœux de Combats – Vœux de vérité – présidentielles 2007, 2012, 2017 et 2022 : les Français abusés – Vérité sur la guerre en Europe : la France n’a rien à gagner à entrer en guerre contre la Russie – Une guerre imposée par Washington – Vérité sur la crise sanitaire mondiale : une immense manipulation sur fond de corruption et de mise en danger des Français – Vérité sur la crise économique et financière : Les pénuries résultent de choix industriel et monétaire imposés à notre peuple contre ses intérêts – Faillite totale des Institutions – la France n’a plus de parlement, n’a plus de gouvernement, n’a plus de justice. La France n’a plus de Constitution – Que faire ? – Les Clubs « Penser la France » ? – Il faut libérer notre peuple – Il faut redonner une Constitutions à la France. Réveiller le sentiment national des Français dans la fidélité aux valeurs du programme du Conseil National de la Résistance (CNR) – Fraternité, Egalité et Liberté – L’amour de la Patrie – Redonner à la France un nouveau Conseil National de la Résistance (CNR).

* ©PenserlaFrance

* Les Clubs « Penser la France » travaillent au soutien de plusieurs initiatives politiques de refondation autour d’un « nouveau Conseil National de la Résistance » réunissant communistes authentiques et gaullistes authentiques et au-delà tous citoyens militants pour l’indépendance de la France. Les Clubs « Penser la France » militent pour les trois sorties immédiates : Sortie de l’OTAN – Sortie de l’UE – Sortie de l’EURO. Dans cet esprit, ils participent notamment à l’initiative des « Cercles Citoyens », soutiennent l’association « Pour une constituante » et sont membres du Haut Conseil international de la Langue française et de la Francophonie (UCILFF). Mouvement de réveil patriotique, les Clubs « PENSER LA FRANCE » ne sont pas un parti politique.

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Jean-Luc Pujo préside les Clubs « Penser la France » et dirige le journal en ligne « Politique-actu.com ». Ecrivain, il est membre de la Société des Gens de Lettres (SGDL) et membre de la SACEM.

Vendredi 9 décembre 2022 : Journée Nationale de la Laïcité

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9 décembre : Journée Nationale de la Laïcité

Ligues de l’enseignement, Libres penseurs … et Francs-maçons du Grand Orient de France ont lancé dès 2009 une idée salutaire : fêter la Laïcité, tous ensembles le 9 décembre, date anniversaire du vote de la loi de séparation de l’Eglise et de l’Etat … en 1905 !

Dans chaque Département, dans chaque Région, des événements seront organisés dans le but d’expliquer, de dialoguer sur une notion essentielle de notre République.

Cette grande Idée ne pouvait que réjouir les républicains.

Depuis la loi du 24 août 2021, cette journée du 9 décembre est institutionnalisée au sein de la fonction publique. Tous les ans, une journée de la laïcité à l’école de la République est organisée le 9 décembre.

Les Clubs « Penser la France » se sont associés à cette proposition et se félicitent de l’adoption de cette loi instituant une journée de la « Laïcité » comme nous le réclamions depuis 2006.

Les Clubs « Penser la France »

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La Laïcité en 3 minutes

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« Quatre questions sur le 9 décembre, journée de la laïcité »

https://www.vie-publique.fr/questions-reponses/277613-quatre-questions-sur-le-9-decembre-journee-de-la-laicite

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Samedi 20 décembre 2014 – Café N°32 – « Laïcité et Citoyenneté : Quelle société voulons-nous ? » avec

M. Philippe FOUSSIER, Président délégué du Comité Laïcité République (CLR)

http://www.politique-actu.com/actualite/samedi-decembre-2014-cafe-laiecite-citoyennete-quelle-societe-voulons-nous-avec-philippe-foussier-president-delegue-comite-laiecite-republique/1198174/

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« La LAÏCITE » par jean-luc Pujo – Propos introductifs –

Café hyper-républicain du 20 décembre 2014 – Paris – place de la Bastille.

http://www.politique-actu.com/actualite/laiecite-jluc-pujo-propos-introductifs-cafe-hyper-republicain-decembre-2014/1211347/

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#Languefrançaise et #Francophonie : forfaiture gouvernementale ? (Communiqué du #HCILFF) – 11 novembre 2022

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Langue française et Francophonie :

forfaiture gouvernementale ?

COMMUNIQUÉ de PRESSE du 11/11/2022

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[Les Clubs Penser la France sont membres du HCILFF

et soutiennent totalement cette action.]

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Le Haut Conseil international de la Langue française et de la Francophonie (HCILFF, 37 associations et 192 personnalités membres), constatent l’échec de la politique du français annoncée sous la Coupole par le Président de la République, le 20 mars 2018, journée mondiale de la Francophonie.

Il est certes légitime que le Président se glorifie d’avoir adopté dès 2017 le projet, lancé en 2001 par nos associations, de Cité internationale de la Francophonie.

Mais ce volet intéressant, dûment salué par nous, du « En même temps » est loin d’équilibrer les très graves atteintes portées à la politique annoncée : inertie malgré ses promesses écrites face au coup d’État post-Brexit de l’anglo-américain promu illégalement « langue commune » par la Commission européenne ; nouvelle carte d’identité communautaire traduite seulement en anglais ; obligation d’attester d’une bonne connaissance du seul anglais pour accéder à l’enseignement supérieur ; prolifération facilitée (1400 en 2022) des illégales formations diplômantes offertes exclusivement en anglais ; franglais proliférant et imposé partout jusque dans les dénominations des universités et des projets gouvernementaux ; désintérêt pour l’action culturelle extérieure, la Francophonie mondiale, l’Afrique francophone dont certains États adhèrent au Commonwealth.

Ce lourd bilan donne le sentiment que nos dirigeants sont devenus acteurs de l’offensive générale tendant à remplacer à terme le français par l’anglais.

Honneur à l’Académie française, phare national qui a osé à la fois refuser l’idéologie importée du genre, condamner l’écriture inclusive, s’élever dans les médias contre l’invasion du franglais et l’illégalité de la nouvelle carte d’identité.

Le Haut Conseil international salue ce valeureux mais fragile rempart, et encourage vivement le Président et son gouvernement à mettre fin à cette détestable forfaiture.

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Contact : Albert Salon, ancien ambassadeur, Secrétaire général HCILFF, avenirlf@laposte.net ; tel 07 68 87 16 01, Avenir de la Langue française (ALF), la Maison des Associations 75012 Paris.

SOURCE:

http://www.politique-actu.com/repere/francophonie-defense-langue-francaise/14757/

Novembre 2022 : 52e anniversaire de la disparition du Général de Gaulle – Expo. POISSY (Yvelines 78498)

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[Une délégation des Clubs « Penser la France » – emmenée par Jean-Luc Pujo –

visitera cette exposition le samedi 12 novembre 2022. ]

(Merci FABRICE)

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Vernissage de l’expo « Charles de Gaulle »

7 novembre 2022 10:00

Espace Arnaud-Beltrame  

|  Poissy, France


A l’occasion du 52e anniversaire de la disparition du Général de Gaulle, qui sera commémorée le mercredi 9 novembre à Poissy, la Ville organise une exposition consacrée à la personnalité de Charles de Gaulle, du 7 au 20 novembre, à l’espace Arnaud-Beltrame. Intitulée « Charles de Gaulle, l’homme derrière le général », cette exposition proposera aux visiteurs de (re)découvrir cette personnalité emblématique, pour mieux comprendre l’homme derrière la figure historique majeure du XXe siècle.

Ouvert au public les samedis et dimanches de 10h à 12h et de 14h à 17h. Aux scolaires en semaine sur inscription.

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SOURCE:

https://www.ville-poissy.fr/index.php/agenda/1474-vernissage-de-l-expo-charles-de-gaulle/2022-11-07-10-00.html

11 NOVEMBRE 2022 : «Fin de la Guerre 14-18 + Hommage aux résistants du 11 novembre 1940» + VIDEO (Penser la France)

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VIDEO de la manifestation du 11 novembre 2022 organisée par l’Action Française

Prise de parole de M. François-Marin FLEUTOT, écrivain, essayiste.

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Les Clubs “PENSER LA FRANCE” manifestent chaque  11 novembre et assistent à l’hommage organisé par l’Action Française aux résistant du 11 novembre 1940.

La délégation sera emmenée

par Jean-Luc Pujo, pdt des Clubs « Penser la France »

VENDREDI 11 NOVEMBRE 2022

RDV : 20H00

Métro « Charles de Gaulle-Etoile »

Sortie Champs Elysées.

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Le 11 novembre 1940

“Le 11 novembre 1940, les troupes d’occupation avaient interdit toute commémoration de la victoire de 1918, mais les étudiants et lycéens parisiens décidèrent d’en faire un symbole de résistance, et l’initiative de cette manifestation revient largement à la Corpo de droit, fondée en 1934, fortement pénétrée par les idées de l’Action française.

Il y eut bien sûr d’autres nationaux, des gaullistes de la première heure, et même quelques communistes bravant les ordres du parti, mais les principaux animateurs de la manifestation, Jean Ebstein-Langevin, vice-président de la Corpo, Alain Griotteray, André Pertuzio président de la Corpo, étaient issus de la mouvance royaliste.

Parmi les nombreux lycéens de Buffon, Janson de Sailly, Saint-Louis…, présents ce jour-là, beaucoup de royalistes également dont un certain Roger Nimier, le futur romancier, alors collégien au lycée Pasteur de Neuilly.

Vers 17 h 30, plusieurs milliers de manifestants convergeaient donc vers l’Étoile. 155 d’entre eux furent incarcérés à la prison de la Santé, la plupart furent libérés un mois plus tard. Dans la presse collaborationniste, celle de Doriot et de Déat, la manifestation fut dénoncée comme un coup des camelots du roi. “

Les Clubs “Penser la France” ne peuvent que rendre hommage à tous ces résistants de la première heure.

Rendez-vous :

Vendredi 11 novembre 2022 – 20H00 –

Métro “Charles de Gaulle-Etoile”

Sortie Champs Elysées.

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Association des résistants du 11 novembre 1940

http://www.ecpad.fr/association-des-resistants-du-11-novembre-1940

Chaque année, la France commémore, le 11 novembre, l’armistice de la première guerre mondiale. Mais peu se souviennent d’un autre 11 novembre, celui de l’année 1940. Pourtant, cet événement est reconnu aujourd’hui comme la première réponse ouverte et collective à l’appel du 18 juin du général de Gaulle.

Ce jour-là, dans le Paris occupé par les Allemands et malgré la publication d’un communiqué de la préfecture de Police stipulant qu’» aucune démonstration publique ne sera tolérée », des tracts circulent sous le manteau et appellent à un rassemblement sur la place de l’Étoile à 17 heures. Deux lycéens prennent une initiative audacieuse et, dès 15 heures, déposent sous l’Arc de Triomphe une gerbe de deux mètres de haut en forme de croix de Lorraine. À la sortie des classes, les étudiants des grands établissements parisiens se dirigent vers les Champs-Elysées. Le rendez-vous » secret » prend des allures de manifestation et rassemble plus de deux mille lycéens et universitaires. Durement réprimé par les nazis, ce geste fort et symbolique suscite alors un nouvel élan dans la résistance française, à Paris comme à Londres.

En 1958, le président de la République inaugure une plaque commémorative sur les Champs-Elysées. Cette même année, l’Association des résistants du 11 novembre 1940 est fondée. Elle compte aujourd’hui une centaine de membres et multiplie les actions mémorielles, notamment auprès des lycéens. Son actuel président, Pierre-André Dufétel, a participé à la manifestation du 11 novembre 1940 avant de s’engager dans les armées de Libération et de servir comme pilote au sein du Groupe de reconnaissance 1/33.

POUR EN SAVOIR PLUS :

https://www.cairn.info/revue-vingtieme-siecle-revue-d-histoire-2011-2-page-67.htm#