INTERVENTION d’André BELLON (Pour une Constituante)
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RASSEMBLEMENT PLURIEL à l’initiative de « COURRIEL »
DEFENSE LANGUE Française
Samedi 15 janvier 2022
(Anniversaire de la naissance de Molière)
15H00
« Fontaine MOLIERE »
28, rue Molière 75001 PARIS
Métro Pyramide ou Métro Palais Royal
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Une délégation des clubs « Penser la France » assistera
à cette manifestation emmenée par Jluc Pujo qui prendra la parole
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Rassemblement pluriel qui aura lieu le 15 janvier, date- anniversaire de la naissance de Molière, à 15 h devant la Fontaine Molière (rue Richelieu, Paris) à l’appel de l’Association CO.U.R.R.I.E.L., avec le concours du PRCF, de la JRCF, de l’Association pour une Constituante », du Mouvement pour un socialisme du 21ème siècle et du PAR.DEM.
Alors que les institutions européennes passent toutes, illégalement et sans le moindre débat, à l’anglais comme langue unique de travail de l’UE (ce qui aboutira très vite à faire de cette langue la langue officielle bis de tous les pays de l’UE, avec d’énormes dangers de marginalisation des autres langues nationales), alors que le grand patronat européen et « français » entend très ouvertement faire de l’anglais (en plein Brexit!) la seule « langue des affaires et de l’entreprise », refusons ce tout-globish obsédant, néocolonial et délétère, faisons respecter l’article II de la Constitution française, constamment violé en France même, qui dispose que « la langue de la République est le français ».
Car le basculement de la France et de l’Empire euro-atlantique en gestation à la langue globalitaire unique, facteur de pensée, d’économie et de politique uniques, ne serait pas moins mortel pour l’avenir de la culture que ne l’est pour la nature l’extinction galopante de la biodiversité.
AccueilActualités« PENSER LA FRANCE » : POUR ADHÉRER ou SOUTENIR NOTRE ACTION en 2022 !
« PENSER LA FRANCE » : POUR ADHÉRER ou SOUTENIR NOTRE ACTION en 2022 !
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Adhésion 2022 aux Clubs « Penser la France »
SOUTENIR l’action des Clubs « PENSER LA FRANCE », action de refondation patriotique visant à réaffirmer la priorité de toute indépendance nationale.
Les Clubs « Penser la France » militent pour la triple sortie : sortie de l’OTAN – sortie de l’Union Européenne – sortie de l’EURO. Ce combat puise son inspiration dans le combat de nos anciens, fidèle à l’esprit du CONSEIL NATIONAL de la RÉSISTANCE. Le Nouveau CNR, initié notamment par les Clubs « Penser la France », s’inscrit dans la fidélité à l’esprit du programme « Les Jours heureux » de 1943 ! C’est ce programme qui a accompagné avec succès la reconstruction de la France moderne.
CONTRIBUER à soutenir notre journal international d’information en ligne « POLITIQUE-ACTU.com » traitant de questions politique, géostratégique, économique et philosophique – en toute liberté… grâce à vos dons.
AccueilActualitésSAMEDI 18 Décembre 2021 : MANIFESTATION #GJ / #PenserlaFrance / #CerclesCitoyens – PARIS – BOURSE – 11h00 / 14H30
SAMEDI 18 Décembre 2021 : MANIFESTATION #GJ / #PenserlaFrance / #CerclesCitoyens – PARIS – BOURSE – 11h00 / 14H30
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RDV PLACE DE LA BOURSE – 12H30
#PENSERLAFRANCE #CERCLESCITOYENS #GJ
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Samedi 18 décembre 2021 PLACE DE LA BOURSE 10h30 : Rassemblement pour une convergence des manifestations Gilets jaunes sur Paris, pour une Constituante. Pour une primaire citoyenne en agora et pour le développement des échanges alternatifs, pour le développement de l’auto-organisation et de l’autonomie individuelle, locale (alimentaire, économique, etc…)
Rassemblement (Agora) statique sur trottoir place de la Bourse (2e) de 10h30 à 13h. Débats et prises de paroles publiques ou chacun peut prendre la parole, communiquer ses idées… groupements d’achats et de consommateurs (pour acheter moins cher), etc… . Manifestation acceptée par la préfecture
Samedi 18 décembre 2021 PLACE DE LA BOURSE 14h30 : Manifestation contre la vaccination obligatoire, non au pass sanitaire. Pour la sortie de l’UE. Pour une souveraineté populaire (RIC). Destitution de tous les représentants politiques qui trahissent le peuple de France. Révocation immédiate des journalistes ne respectant pas la Charte de Munich
Citoyens et Gilets Jaunes, Sébastien, Hélène. Rdv place de la Bourse 13h, départ 14h30. Rue Vivienne > bd Montmartre > rue du fb Montmartre > rue Lafayette > rue du fb Poissonnière >rue Poissonnière >r Réaumur > rue de Bretagne > bd Beaumarchais >rue du fb St Antoine > Arrivée Hôpital St Antoine (6,4 km). Manifestation acceptée par la préfecture
AccueilActualitésMercredi 15 décembre 2021 : Hommage à Gabriel Péri – 19H00 – PARIS (VIDEO)
Mercredi 15 décembre 2021 : Hommage à Gabriel Péri – 19H00 – PARIS (VIDEO)
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LA VIDEO des interventions !
Mme Annie LACROIX-RIZ et M. Jean-Luc PUJO
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Rassemblement en hommage à Gabriel Péri, intellectuel et militant communiste,
organisé par les militants
du Pôle de renaissance du communisme en France (PRCF).
80e anniversaire de sa disparition.
Mort pour des « lendemains qui chantent ».
Gabriel PERI est arrêté le 18 mai 1941 dans l’immeuble du 5, place de la porte de Champerret et fusillé par les Allemands au Mont Valérien, le 15 décembre 1941.
Lieu du rassemblement : 5, place de la porte de Champerret (75017 Paris), devant la plaque commémorative.
Métro : Porte de Champerret – Bus 164
Une délégation des Clubs « Penser la France » emmenée par Jean-Luc Pujo sera présente.
AccueilActualités« La Marseillaise » à l’Arc de Triomphe – Anniversaire – VIDEO du 1er Décembre 2018 – #Giletjaune
« La Marseillaise » à l’Arc de Triomphe – Anniversaire – VIDEO du 1er Décembre 2018 – #Giletjaune
GILETS JAUNES : Mouvement Citoyen et populaire !
« A ce moment précis, le peuple chantant LA MARSEILLAISE sous l’Arc de Triomphe, le peuple a repris symboliquement le pouvoir ! Ici, en cet instant, le Peuple a fait serment ! Nous avons fait serment ! Pour la France ! » Jean-Luc Pujo
[Photo : 1er décembre 2018 – Jean-Luc Pujo – Arc de Triomphe – Paris 11h00/12h00 – Merci à nos camarades et compagnons – #penserlafrance]
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Les Clubs « PENSER LA FRANCE » soutiennent le mouvement des Gilets Jaunes depuis le 17 novembre 2018 et ont participé à toutes les manifestations parisiennes sauf le 22 décembre 2018 où nous étions sur des ronds points en province, notamment en Languedoc.
A leur tête Jean-Luc Pujo, président des Clubs « Penser la France » a été de toutes les manifestations parisiennes notamment celle du 1er décembre à l’Arc de Triomphe.
Le Mouvement des Gilets Jaunes – malgré de très nombreux pièges tendus – reste un immense mouvement populaire et citoyen qui s’inscrit dans la longue et très grande histoire des mouvements populaires français.
Les Clubs « Penser la France » appellent depuis 2008 à un sursaut citoyen. Ils ne pouvaient que soutenir ce mouvement immense, profond.
Souvenez-vous ! A cette date – 2008 – le parlement réuni en Congrès, a effacé le vote référendaire du peuple souverain du 29 mai 2005, en totale trahison du peuple de France.
C’est une forfaiture commise par l’ensemble des partis politiques appuyés par des médias inféodés.
Les Gilets Jaunes apparaissent ainsi comme un élan salvateur, pouvant participer à la rénovation de notre démocratie profondément malade.
Rebâtir en profondeur notre République, voilà l’objectif essentiel.
La classe politique entièrement corrompue ne peut réaliser cette rénovation : il faut un profond bouleversement démocratique venu du peuple.
C’est toute l’espérance fondée sur ce mouvement démocratique populaire et citoyen qui n’en est qu’au commencement.
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VOIR LA PAGE CONSACRÉE au mouvement des #Giletsjaunes auquel les Clubs « Penser la France » ont pleinement participé depuis le 17 novembre 2018.
AccueilActualités« Au Panthéon ? Joséphine BAKER ! » (Penser la France) Décembre 2013 – Novembre 2021
« Au Panthéon ? Joséphine BAKER ! » (Penser la France) Décembre 2013 – Novembre 2021
[ndlr : L’actualité de la rentrée 2021 nous amène à republier ce communiqué des Clubs « Penser la France » daté de 2013].
[NDLR novembre 2021 : L’entrée de Joséphine BAKER au Panthéon doit être saluée. Les Clubs Penser la France la réclamaient depuis 2013 au moins. Peut-être le seul acte véritablement patriotique du quinquennat #Macron. Triste quinquennat !]
COMMUNIQUE NATIONAL des Clubs « Penser la France »
16 décembre 2013
A l’heure où la République s’interroge sur de possibles candidatures à l’entrée au Panthéon, les Clubs « Penser la France » ont choisi de soutenir la candidature de Mme Joséphine BAKER.
Naturalisée française, elle rejoint la Résistance. Elle entre dans le contre-espionnage en 1939 et devient, plus tard, au péril de sa vie, l’agent de propagande du général de Gaulle.
Elle luttera plus tard contre le racisme, pour l’émancipation des Noirs, et soutiendra en particulier le Civil Rights Movement de Martin Luther King.
« Star internationale du music-hall, vedette incontestée du Casino de Paris et du théâtre des Champs-Elysées, Joséphine Baker fut la première artiste française noire dans les années 30 à toucher le cœur des Français par ses chansons populaires, sa beauté et sa voix angélique. Lorsque la France est attaquée en 1940 par Adolf Hitler, la Star quitte les paillettes pour entrer dans la résistance.» rappelle Charles ONANA.
Véritable figure de l’engagement au féminin, elle honore la France.
Pour les Clubs « Penser la France, notre candidate, c’est Joséphine BAKER ! Sans l’ombre d’une hésitation !
Que n’y est-elle déjà ?
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Donnée biographique :
Joséphine Baker, née Freda Josephine McDonald le 3 juin 1906 à Saint-Louis (Missouri) et morte le 12 avril 1975 dans le 13e arrondissement de Paris, est une chanteuse, danseuse et meneuse de revue.
D’origine métissée afro-américaine et amérindienne des Appalaches, elle est souvent considérée comme la première star noire. Elle prend la nationalité française en 1937 et, pendant la Seconde Guerre mondiale, joue un rôle important dans la résistance à l’occupant. Elle utilisera ensuite sa grande popularité dans la lutte contre le racisme, et pour l’émancipation des Noirs, en particulier en soutenant le Civil Rights Movement de Martin Luther King.
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« Et si Joséphine Baker entrait au Panthéon ? » par Régis DEBRAY
C’est toujours le présent qui se célèbre lui-même en consacrant tel ou tel fantôme tutélaire. Pourquoi, dès lors, ne pas jouer cartes sur table, sans trop se mentir à soi-même ?
En rendant les honneurs du Panthéon à Joséphine Baker, l’époque ne ferait qu’endosser haut et fort ce qu’elle a de singulier, et de plus dynamique. Elle se distingue de ses devancières par ceci que la femme libre, le colonisé, le coloré des confins, le bi ou l’homosexuel, ont fait irruption à l’avant-scène, avec des formes d’art jusqu’alors dédaignées, la danse, le rythme, le jazz, la chanson.
L’esprit des hauteurs a trop censuré le corps, le grand absent des annales homologuées républicaines – même si le sport, la mode et la publicité le rendent omniprésent. Tous ces nouveaux venus, exotiques ou excentriques, n’ont-ils pas éventé notre province ? Ils ont, en nous perturbant, beaucoup donné. Notre modernité leur doit son merveilleux, le plus clair de ses battements d’aile et de coeur. On peut leur en rendre grâce.
Des Folies-Bergère au suprême sanctuaire ? De la ceinture de bananes à la couronne de lauriers ? Profanation ! Le Front national accusera. Le burgrave gémira. La vertu hoquettera. Si le kitsch consiste, comme le dit Kundera, à « se regarder dans le miroir du mensonge embellissant et s’y reconnaître avec une satisfaction émue », rien ne serait plus dépaysant, moins hypocrite et narcissique, que de hisser cette Américaine naturalisée en 1937, libertaire et gaulliste, croix de guerre et médaille de la Résistance, au coeur de la nation. Elle est à hauteur d’homme.
L’époque n’est pas au sacrifice ? Justement. La Gestapo a quitté la place et personne ne nous demande de faire sauter les trains. On peut encore, en revanche, secouer les apartheids en réinventant le quotidien. Joséphine Baker n’a pas l’aspect d’une héroïne. C’est une irrégulière. Ce n’est pas un mythe. C’est un exemple. De quoi ? D’un affranchissement, qui a bousculé les conformismes et dérangé les lignes.
DÉGELER LES URNES
On nous répondra : « Plus politiquement correct, tu meurs. » Rions de cet éclat de rire. C’était très incorrect, avant guerre, de se produire les seins nus, d’aimer un petit auteur de polar, Simenon, et d’ensorceler cubistes et surréalistes. Et très risqué (chez « les saltimbanques » en vogue, plutôt insolite) d’entrer dans les services secrets de la France libre en 1940, d’épouser en 1955 la cause des Noirs nord-américains (en se faisant chasser des grands hôtels de New York), d’assister en 1966 à la Conférence tricontinentale de La Havane – en soutenant les mouvements de libération latinos – et d’engloutir sa fortune pour entretenir une famille arc-en-ciel avec douze enfants adoptifs, de tous horizons. Légèreté peut rimer avec liberté, et la fantaisie donner au courage une sorte de pudeur.
Tous ceux, toutes celles qui de par le monde ont deux amours, leurs pays et Paris, ne bouderaient pas leur plaisir. Non plus que Senghor, Roumain, Depestre, Césaire, sans oublier Christiane Taubira. Cette sirène des rues pourrait bien nous aider à dégeler les urnes et les statues, à mettre un peu de turbulence et de soleil dans cette crypte froide et tristement guindée.
« De l’audace, encore de l’audace, toujours de l’audace. » Voir reposer côte à côte la chair et la science, la fantasque et le supplicié, Orphée et Jean Moulin, ne serait pas la pire façon de faire remonter de la vie au sommet de la colline, de fermer les portes de la guerre et d’accorder la République aux temps nouveaux, polyphoniques, frondeurs et bon enfant.
« Joséphine Baker contre Hitler : La star noire de la France Libre » par Charles ONANA
Star internationale du music-hall, vedette incontestée du Casino de Paris et du théâtre des Champs-Elysées, Joséphine Baker fut la première artiste française noire dans les années 30 à toucher le cœur des Français par ses chansons populaires, sa beauté et sa voix angélique. Lorsque la France est attaquée en 1940 par Adolphe Hitler, la Star quitte les paillettes pour entrer dans la résistance. Militante antiraciste, épouse d’un juif, Baker refuse de voir Paris sous la botte des Nazis. Dès 1939, elle entre dans le contre-espionnage et devient, plus tard, au péril de sa vie, l’agent de propagande du général de Gaulle. Elle donne de nombreux concerts pour récolter des fonds au profit de l’armée française et aide les services de renseignements français à obtenir des informations précieuses sur les intentions de Mussolini et sur les projets secrets des Allemands. Pendant cinq ans, elle lutte contre les nazis. Après deux années d’enquête, le journaliste Charles Onana a retrouvé des archives militaires, celles des renseignements généraux et du FBI, gui révèlent comment une femme noire américaine, devenue française, a combattu Hitler et le racisme. A la fin de la guerre, elle marche à Washington avec Martin Luther King pour les droits civiques, puis adopte des enfants de toutes les couleurs et mène un combat international contre le racisme.
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QUI au Panthéon ?
Philippe Bélaval a été chargé en mai par François Hollande de réfléchir au rôle du Panthéon dans la vie de la République. Le patron du CMN, qui gère notamment ce monument, devrait rendre officiellement son rapport au chef de l’Etat le 9 octobre. Il comprendra des suggestions sur les défunts illustres susceptibles d’entrer dans ce temple républicain des Grands Hommes.
Pour « ouvrir le débat largement », Philippe Bélaval a organisé entre le 2 et le 22 septembre une consultation sur le site du CMN. Ainsi, 30.715 personnes ont répondu au questionnaire qui demandait « selon vous, qui mériterait d’être prochainement honoré au Panthéon et pourquoi ». « Au total 1.200 noms ont été proposés. Parmi les noms les plus fréquemment cités arrivent en majorité des noms de femmes », déclare Philippe Bélaval.
Débuté le samedi 17 novembre 2018, le mouvement des #GiletsJaunes est devenu un des évènements politiques majeurs des 50 dernières années.
Ce mouvement est le signe d’une reconstruction politique en cours qui échappe – bien sûr – à la classe dirigeante qui tente par médias, partis politiques et syndicats de récupérer l’élan politique venu du peuple pour le canaliser et le neutraliser.
Les Clubs « #PenserlaFrance » ont participé à la première manifestation du samedi 17 novembre 2018, puis sans discontinuer à toutes les manifestations durant six mois. Enfin, ils ont maintenu une présence durant ces trois années pour toujours soutenir ce mouvement indispensable.
Présents sous l’Arc de Triomphe, le samedi 1er décembre 2018, les Clubs « #PenserlaFrance » ont contredit l’ensemble des partis, des médias et des syndicats qui ont caricaturé ce mouvement en le réduisant à un mouvement de revendication essentiellement fiscal et anti-taxe alors que sa réalité politique et sociale est plus profonde et plus complexe, comme a pu l’écrire à de multiples reprises Jean-Luc Pujo, président des Clubs.
Tout naturellement, les Clubs « #PenserlaFrance » se mobilisent pour le 3ème anniversaire de ce mouvement populaire qui s’inscrit dans la tradition des grands mouvements populaires qui ont fait l’histoire de la France.
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Marseillaise à l’Arc de Triomphe – #PenserlaFrance – 1er Décembre 2018
Manifestation contre l’obligation vaccinale et le pass sanitaire. On touche pas à nos enfants. Pour une justice sociale et fiscale, une démocratie directe et participative, la réécriture de la constitution, la fin des avantages et privilèges des élus. Contre la réforme des retraites et du chômage. Baisse des taxes sur l’essence, le gaz et l’électricité
AccueilActualités11 NOVEMBRE 2021 : « Fin de la Guerre 14-18 + Hommage aux résistants du 11 novembre 1940 » (Penser la France)
11 NOVEMBRE 2021 : « Fin de la Guerre 14-18 + Hommage aux résistants du 11 novembre 1940 » (Penser la France)
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Les Clubs “PENSER LA FRANCE” manifestent chaque 11 novembre et assistent à l’hommage organisé par l’Action Française aux résistant du 11 novembre 1940.
La délégation sera emmenée par Jean-Luc Pujo, pdt des Clubs « Penser la France »
RDV : 18H30
Métro « Charles de Gaulle-Etoile » – Sortie Champs Elysées.
“Le 11 novembre 1940, les troupes d’occupation avaient interdit toute commémoration de la victoire de 1918, mais les étudiants et lycéens parisiens décidèrent d’en faire un symbole de résistance, et l’initiative de cette manifestation revient largement à la Corpo de droit, fondée en 1934, fortement pénétrée par les idées de l’Action française.
Il y eut bien sûr d’autres nationaux, des gaullistes de la première heure, et même quelques communistes bravant les ordres du parti, mais les principaux animateurs de la manifestation, Jean Ebstein-Langevin, vice-président de la Corpo, Alain Griotteray, André Pertuzio président de la Corpo, étaient issus de la mouvance royaliste.
Parmi les nombreux lycéens de Buffon, Janson de Sailly, Saint-Louis…, présents ce jour-là, beaucoup de royalistes également dont un certain Roger Nimier, le futur romancier, alors collégien au lycée Pasteur de Neuilly.
Vers 17 h 30, plusieurs milliers de manifestants convergeaient donc vers l’Étoile. 155 d’entre eux furent incarcérés à la prison de la Santé, la plupart furent libérés un mois plus tard. Dans la presse collaborationniste, celle de Doriot et de Déat, la manifestation fut dénoncée comme un coup des camelots du roi. “
Les Clubs “Penser la France” ne peuvent que rendre hommage à tous ces résistants de la première heure.
Rendez-vous : JEUDI 11 novembre 2021 – 18H30 – Métro “Charles de Gaulle-Etoile” – Sortie Champs Elysées.
Chaque année, la France commémore, le 11 novembre, l’armistice de la première guerre mondiale. Mais peu se souviennent d’un autre 11 novembre, celui de l’année 1940. Pourtant, cet événement est reconnu aujourd’hui comme la première réponse ouverte et collective à l’appel du 18 juin du général de Gaulle.
Ce jour-là, dans le Paris occupé par les Allemands et malgré la publication d’un communiqué de la préfecture de Police stipulant qu’» aucune démonstration publique ne sera tolérée », des tracts circulent sous le manteau et appellent à un rassemblement sur la place de l’Étoile à 17 heures. Deux lycéens prennent une initiative audacieuse et, dès 15 heures, déposent sous l’Arc de Triomphe une gerbe de deux mètres de haut en forme de croix de Lorraine. À la sortie des classes, les étudiants des grands établissements parisiens se dirigent vers les Champs-Elysées. Le rendez-vous » secret » prend des allures de manifestation et rassemble plus de deux mille lycéens et universitaires. Durement réprimé par les nazis, ce geste fort et symbolique suscite alors un nouvel élan dans la résistance française, à Paris comme à Londres.
En 1958, le président de la République inaugure une plaque commémorative sur les Champs-Elysées. Cette même année, l’Association des résistants du 11 novembre 1940 est fondée. Elle compte aujourd’hui une centaine de membres et multiplie les actions mémorielles, notamment auprès des lycéens. Son actuel président, Pierre-André Dufétel, a participé à la manifestation du 11 novembre 1940 avant de s’engager dans les armées de Libération et de servir comme pilote au sein du Groupe de reconnaissance 1/33.