« Loi Immigration : le délirium Français » #PenserlaFrance – communiqué national du 11 janvier 2024

[Photo : Plus de 200 jeunes réfugiés manifestent devant le Conseil d’État à Paris, le 2 décembre 2022. Beaucoup d’entre eux dorment sous les ponts d’Ivry-sur-Seine, en banlieue parisienne, certains depuis 6 mois ou plus. © 2022 Sipa via AP Images]

[AVERTISSEMENT – 22 septembre 2024 : L’immigration devenant une des préoccupations centrales des Français comme du nouveau gouvernement, nous republions ce texte complet.]

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Communiqué national des Clubs Penser la France

Jeudi 11 janvier 2024,19h00

« L’essentiel, c’est que le pays ne soit pas dupé une fois de plus.

Pour cela, il faut, avant tout, informer loyalement ».

Pierre Mendès-France

*

Depuis au moins les années « 30 », dès après la saignée de 14-18, et certainement plus loin encore, après que notre nation  a perdu son hégémonie démographique en Europe au début du XIXème siècle [1],  la France fantasme sur son immigration.

L’étranger – d’où qu’il vienne – est ainsi devenu, à plusieurs reprises dans notre histoire, le centre d’une attention malsaine entre admiration et répulsion.

Source de méprises, l’immigration alimente de nombreux fantasmes – identité nationale menacée, trouble à l’ordre public, etc – ou révèle nos impensés collectifs dans un monde en tension.

La quasi-totalité des partis politiques se saisit du sujet avec une mauvaise foi ou une incompétence sidérante, alors que les gouvernements successifs tentent de répondre – avec plus ou moins d’honnêteté – aux objectifs contradictoires soulevés par cette ressource humaine non maitrisée et difficilement maitrisable dont le pays a pourtant besoin.

Sur ce sujet particulier, notre nation s’emballe avec une facilité déconcertante, le législateur s’agite, les hautes juridictions se politisent. Et pour finir, l’opinion publique s’inquiète.

L’immigration est un sujet éminemment complexe qui révèle la nature profonde de notre contrat social, les forces et les faiblesses de nos institutions, l’état même du fonctionnement de notre démocratie sous contrôle de l’Union européenne et de l’OTAN.

Pourtant, ce sujet difficile, crucial, fait l’objet d’un traitement délirant qui peut être mesuré à l’aune de plusieurs questions essentielles :

1 – Pourquoi refuser la délivrance de titre de séjour aux étrangers et dans le même temps être incapable de renvoyer les déboutés ? Depuis des décennies, moins de 10% des Obligations de quitter le territoire (OQTF) sont exécutées par les préfets aux ordres, qui, d’une main, refusent la délivrance de titres, d’une autre, refusent d’appliquer les mesures d’éloignements.

2 – Pourquoi l’entrée et le séjour en France sont traités conjointement avec le droit d’Asile, qui n’a – politiquement et philosophiquement  – strictement rien à voir ? Pourquoi le législateur comme les juges du Palais Royal alimentent cette confusion, n’en distinguent pas les termes, alors que l’un renvoit à la gestion d’un flux ; l’autre, à une certaine idée supérieure de la justice [2] ?

3 – Pourquoi restreindre à ce point l’accès au titre de séjour pour organiser – chaque 25 ans –  des régularisations massives ?

4 – Pourquoi ne pas dire aux Français quels sont les véritables enjeux économiques liés à l’immigration ? A cette main-d’œuvre utile à plusieurs secteurs stratégiques – bâtiment, transports, énergie, etc ? Que le refus des patronats d’augmenter les salaires français a pour contrepartie directe le recours à une main-d’œuvre sans papier exploitée à vil prix ? Que nos politiques et nos syndicats aux discours démagogues, sont impuissants à juguler ce qui relève du plus simple trafic humain* ?

5 – Pourquoi les enjeux internationaux, diplomatiques et stratégiques liés à l’immigration ne sont pas expliqués aux Français ? Pourquoi, notamment, ne pas avouer que, depuis un siècle au moins, nos politiques internationales ont consisté au Maghreb, au Moyen-Orient et en Afrique subsaharienne à détruire toute élévation démocratique ? A combattre, assassiner les leaders laïcs et progressistes ? Pourquoi, dans ce contexte, s’étonner du surgissement de courants Islamistes que nous avons largement encouragés – Frères musulmans, Salafistes, adeptes du wahhabisme – et même financés quand « ils faisaient du bon boulot » en Syrie, en Irak ?

6 – Pourquoi ne pas avouer aux Français que la France sans frontière ne peut plus rien dans l’espace Schengen ? Que les politiques migratoires ne sont plus du ressort de la compétence nationale et échappent en presque totalité au gouvernement de la France ? Pourquoi les Français ne font-ils pas de lien entre une politique migratoire dérégulée et leur perte de souveraineté nationale ?

7 – Pourquoi enfin certains mouvements politiques – dit « nationalistes »  – très critiques envers l’immigration participent-ils autant à la promotion  rémunératrice des institutions européennes alors que l’UE impose précisément une dérégulation magistrale des flux migratoires contraire à notre intérêt national ?

*

Notre délirium Français est bel et bien le fruit d’une hypocrisie générale et d’une manipulation générale.

Dans le même temps, qui peut nier que l’immigration dérégulée soulève de véritable et sérieux problèmes ?

Que l’accueil de population musulmane n’est pas sans poser de difficultés dans un pays de tradition chrétienne, certes, spirituellement en déshérence, mais néanmoins attaché à certains signes hérités de la civilisation judéo-chrétienne ?

Que la laïcité elle-même, complexe à appréhender, est un héritage supérieur de cette civilisation ?

Le délirium français ne s’arrête pas là. Les fantasmes sur l’Islam sont aussi le signe de notre effondrement intellectuel et politique.

La place et la symbolique attachée à l’Islam ne sont pas à la hauteur des enjeux de notre période et ne sont pas digne de notre civilisation.

D’une part, l’Islam est caricaturé souvent déprécié alors que l’Islam reste une des plus grandes religions au monde, une des trois religions du Livre, une des trois religions mosaïque.

Comment d’ailleurs les Français musulmans font-ils pour supporter les insultes quasi-permanentes en direction de cette grande religion alors qu’une majeure partie des Français musulmans participe pleinement à la vie de la Nation ? Dynamise la vie économique et sociale ? Participe à régénérer notre vie politique ?

D’autre part – comment le nier ? –  certains courants islamistes travaillent notre communauté nationale, sapent les derniers oripeaux républicains d’une France qui s’abandonne elle-même à une élite pro-européenne qui la déconstruit.

Les Français aiment à se faire peur à l’invocation d’attentats terribles dont – en fait – ils ne savent rien.

Faut-il vraiment rappeler que la France – la présidence de la République – a financé encore récemment certains réseaux terroristes salafistes ? Les a manipulés puis trahis en Syrie ou en Irak ?

Comment dès lors s’étonner des attentats dramatiques organisés en représailles à Paris (Bataclan, Charlie-Hebdo, etc.) avec le soutien de services étrangers ?

En cette matière, plus qu’en tout autre, il n’est pas possible d’éviter le réel, de ne pas regarder nos responsabilités multiples, de ne pas constater notre duplicité envers de nombreux Etats d’Afrique, du Maghreb, du Machrek.

Ce que les Français refusent de voir, le monde entier le sait depuis longtemps.

La France ne gagnera rien sur ce terrain politique difficile sans accepter de regarder sa responsabilité immense dans le désordre mondial.

*

Une autre politique est possible pour la France.

Elle consisterait d’abord et avant tout à réaffirmer comme préalable le souci de recouvrer une pleine souveraineté française : des frontières, une hiérarchie des normes, un gouvernement et un parlement dignes de ce nom.

Elle consisterait ainsi à réaffirmer la place du peuple souverain dans l’ordre politique supérieur.

Elle imposerait ensuite de reconsidérer l’ordre mondial et de revisiter toutes nos relations diplomatiques vers les zones des pays sources d’immigration, car notre responsabilité – nous le répétons – est immense.

Il s’agirait pour la France de renouer avec les vrais valeurs de Justice internationale, de promouvoir de grandes politiques de développement et de coopération, de s’ouvrir aux pays du sud, notamment les pays des BRICS qui déplorent la disparition de la France sur la scène internationale et avec elle la disparition des valeurs incarnées par 1789, 1830, 1848, 1870, 1945 et 1958.

L’ordre de 1945 qui les résumait toutes est bel et bien en train de disparaitre.

N’est-il pas trop tard pour sauver la France ?

Si l’effondrement de notre vie politique et intellectuelle semble l’annoncer, nous savons cependant, que la France, c’est avant tout le peuple.

Et le peuple Français est encore riche de potentialité, d’ouverture à l’étranger pour peu que l’immigration soit organisée, encadrée, régulée dans un sens unique à fixer : le seul intérêt de la France, l’amour de la France, des valeurs de la France.

*

En conclusion, plusieurs mesures pourraient s’imposer rapidement :

– Sortir de l’OTAN et de l’UE pour réaffirmer la pleine souveraineté de la France dans ses politiques régaliennes ;

– Sortir de l’espace Schengen et réaffirmer le principe du respect de nos frontières nationales ;

– Redéfinir nos relations avec les pays sources par de nouvelles politiques de visas, de formations et de coopérations renforcées pour mettre en place une « immigration pendulaire » [3] ;

– Redéfinir le rôle essentiel de l’OFFI (Office français de l’intégration et de l’immigration) à redéployer pour mettre en place une véritable immigration de travail transparente et à la hauteur des enjeux économiques mondiaux que la France doit relever ;

– Redéfinir le rôle essentiel de l’OFPRA (Office français de protection des réfugiés et des apatrides) qui retrouverait sa tutelle historique du ministère des Affaires étrangères, arrêterait toutes missions d’externalisation, pour se consacrer essentiellement à l’application d’une convention internationale parmi les plus nobles : la Convention de Genève du 28 juillet 1951 relative au statut des réfugiés, renonçant ainsi de facto à un ordonnancement européen archaïque, source de désordre général ;

– Enfin, appliquer la loi française dans ce qu’elle a de juste mais aussi de contraignant. Notamment, procéder à l’exécution des obligations de quitter le territoire français dès lors que toutes les garanties effectives du respect du droit ont été apportées aux ressortissants étrangers, ce qui – aujourd’hui – est le cas dans la presque totalité des décisions. Le refus des gouvernements d’appliquer la loi française est la plus grande source de désordre politique qu’il soit.

*

L’ensemble de ces premières mesures doit être accompagné d’un volontarisme français, du retour d’un véritable discours français autour de nos valeurs fondamentales, lesquelles ont disparu pour le plus grand étonnement des pays du sud.

Nous le constatons, l’immigration, l’accueil de l’étranger en France est un sujet complexe qui convoque l’ensemble de nos institutions comme de nos valeurs ; nous met en situation de confrontation de nos principes juridiques et politiques les plus élevés avec le réel ; nous offrant ainsi la capacité de mesurer la valeur même de nos principes, de les remettre en question comme en concurrence. Ainsi, de nous élever collectivement.

Autrement dit, l’étranger nous offre une chance, celle de mesurer notre degré d’élévation démocratique [4].

Il faut constater pour le regretter que l’immigration dérégulée actuelle entraine un désordre dramatique qui alimente notre délirium français déjà ancien, n’en finit pas d’abaisser la France, la promesse Française.

Car il faut le dire et le répéter : il existe au monde une promesse Française.

A nous de la porter, de la faire vivre, de la réinventer.

Citoyens, Français engagés, c’est le défi supérieur des temps actuels que nous devons relever.

A l’aune de ces réflexions, nous pouvons conclure que le projet de loi actuel – outre certaines aberrations techniques [5] – ne répond en rien aux enjeux que la France doit relever dans un monde de plus en plus agité.

Fin

Notes :

[1] La France était la première puissance démographique en Europe en 1800 ;

[2] « L’Asile à la lumière d’une pratique de l’Etat » par Jean-Luc Pujo Président d’ASULON France (hivers 2006) – https://www.politique-actu.com/actualite/asile-lumiere-pratique-etat-jean-pujo-president-asulon-france-hivers-2006/1652684/

[3]« immigration pendulaire » : concept ardemment défendu dès les années « 90 » par M. Sami Naïr, un des plus brillants spécialistes français en la matière. Lire notamment : « Y vendran, las migrationes en tiempos hostiles » édit. Bronce (2006) et « L’immigration est une chance – la vérité sur l’immigration » – édit. Seuil – 2007 ;

[4] « Dans ce contexte, il est possible de s’interroger avec Jacques Derrida : « L’Europe pourra-t-elle continuer à incarner « la ressource d’avenir » ? Et c’est encore avec lui que nous pouvons conclure ce questionnement politique. Derrida rappelait ce que Levinas annonçait comme conséquence du déplacement massif de toutes ces personnes, réfugiés, exilés : « Ils appellent l’espace socio- et géo-politique à une mutation  juridico-politique mais d’abord – avant tout – ils appellent à une conversion éthique. » C’est sur cette conversion éthique qu’il nous faut insister. Le demandeur d’asile est une chance ! Il est « notre chance » nous dit Levinas. Il est ce « tiers » qui vient interrompre la complaisance de la dualité ou du dialogue JE-TU source d’un piège qui ressemble au pire : « La bonne conscience ». C’est de cette rencontre avec le tiers – la tiersalisation- que peut naître la socialité, c’est à dire le politique, les lois, les droits, l’Etat. Le demandeur d’asile est ainsi tout autant la « promesse » que le « passage à l’acte ». » – « De l’Europe : pour une ouverture à l’humanité » Jean-Luc Pujo – Journal « D’Asile et d’ailleurs » juin 2005.

[5] La plus démagogique des mesures étant celle de la restriction de l’accès aux soins pour des immigrés en situation irrégulière, qui, même à ne pas tenir compte du devoir premier de civilisation, posera un problème de santé publique évident, mettant en danger la population française, elle-même.

(*) Sans oublier, bien sûr, le drame des mineurs isolés étrangers couchant sur les trottoirs de nos villes. Combien disparaissent chaque année sans donner l’alarme et se rajoutent ainsi aux 1.000 enfants français disparaissant chaque année ? Réseaux pédophiles, réseaux de trafics d’organes et sectes avec sacrifices humains ; en France ; en 2023 ?

#asile #immigration #Darmanin #CESEDA #DroitdAsile #entreeetsejour #droitdesetrangers

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Les Clubs « Penser la France » travaillent au soutien de plusieurs initiatives politiques de refondation autour d’un  « nouveau Conseil National de la Résistance » réunissant communistes authentiques et gaullistes authentiques et au-delà tous citoyens militants pour l’indépendance de la France.

Les Clubs « Penser la France » militent pour les trois sorties immédiates : Sortie de l’OTAN – Sortie de l’UE – Sortie de l’EURO.

Source: www.penserlafrance.fr

Lettre au Président de la République – Haut Conseil international de la Langue française et de la Francophonie (HCILFF) – Septembre 2024 – PARIS

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À Monsieur Emmanuel Macron, Président de la République,

55, rue du Faubourg Saint-Honoré 75008, Paris

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Monsieur le Président de la République,

Le Haut Conseil international de la Langue française et de la Francophonie (HCILFF) constate que les Jeux Olympiques ont eu, sur la cause qu’il défend, deux effets révélateurs de votre « en même temps » :

Le premier effet est le triomphal succès des Jeux dans l’organisation, la sécurité, les performances des athlètes, notamment français battant tous records. Marseillaise, nos drapeaux, public français enthousiaste, fierté portée et criée par notre peuple. Monsieur le Président, nous vous en félicitons sincèrement. Vous avez adopté ces Jeux, puis suivi dans le détail leurs conception, préparation, déroulement. Vous les avez voulus vôtres : ils sont donc aussi votre succès.

Mais leur deuxième effet, sous-jacent, discret, largement occulté par les médias, s’avère hélas néfaste pour notre cause. Il semble que vous ayez voulu, bien au-delà de l’idéologie olympique, faire passer par ces Jeux, dans les cérémonies d’ouverture et de clôture, un message politique plus personnel, critiqué par ailleurs, qui nous paraît desservir la cause du français et de la Francophonie.

En ce qui concerne la langue française, votre gouvernement nous avait, en 2023, annoncé qu’il saisirait cette magnifique occasion de redonner au français sa première place à la fois de langue olympique et celle du pays hôte. Or, était en seul anglais tout ce qui était écrit et filmé par les caméras de télévision à l’intention de plus d’un milliard de téléspectateurs. En dépit des promesses reçues, et d’une résolution votée par l’Assemblée nationale. Dans le défilé des bateaux, les caméras n’ont pu filmer que le bâbord où les pancartes désignant les pays étaient en anglais…Plus grave : athlètes et spectateurs présents ou devant leur télévision, n’ont eu, de toutes les épreuves sportives, que des présentations et résultats écrits en anglais, sans français. Donc, pour le monde devant l’écran, peu de différence avec les JO antérieurs très anglicisés. Quant à l’oral, les œuvres chantées diffusées firent une bonne place à l’anglo-américain. Les commentateurs en français des épreuves ont dû nommer en anglais diverses disciplines modernes (« skateboard »…), alors que les commissions de terminologie animées par la DGLFLF avaient bien travaillé. Impossible de s’aider de la lecture de mots français puisque tout l’écrit était en seul anglais…Pourquoi les versions françaises produites n’ont-elles pas été mises à leur disposition avec prière de les utiliser ?

Monsieur le Président, cette langue française coupée aux Jeux nous rappelle votre campagne de 2017 : les « helpers ; start-up nation », la conférence en seul anglais lors de votre présentation à Berlin, à l’Université Humboldt. Puis, au long de vos mandats, discours en anglais jusqu’en France, et tous vos « French Tech ; Choose France »…Jusqu’à la diffusion de votre jeu de mots « Once ippon a time…». Un président français devait-il jouer les bardes médiévaux « grand-bretons » pour immortaliser en conte de fées l’ippon triomphal de Teddy le « Winner » ? : Cela nous rappelle surtout votre très grave refus de fait de saisir, au 1er semestre de 2022, l’occasion de votre tour de présidence du Conseil européen des chefs d’État pour lui faire rétablir la place reconnue au français et à l’allemand dans la législation de l’UE. Mme U. von der Leyen, l’avait bafouée, en 2020, post-Brexit, dans son coup État (1er sur 4 !), en déclarant l’anglais « langue commune » de la Commission. Votre Secrétaire d’État nous avait pourtant rassurés deux fois par écrit en 2020 et 2021. Donc : déjà désaveu, mépris, forfaiture, trahison, subis par nos associations, les traducteurs, votre administration même, et – surtout – par le français, la France, la Francophonie. Résultat : l’anglais règne en maître, dans les institutions de l’UE. Et Mme v.d. Leyen contestée vient d’être réélue à la Commission, sans opposition française…

Autre redoutable effet actuel de votre « en même temps » dans nos domaines : cette Cité internationale de la LF à Villers-Cotterêts. Vous avez adopté dès 2017 (merci !), l’ambitieux projet lancé en 2001 sur place par nos associations. Il est aujourd’hui le superbe élément positif, physique, de votre mantra dans ce domaine, censé compenser…tous les effets néfastes évoqués. Or, à l’instar des JO, la réussite physique bien tangible de la Cité s’accompagne d’un détournement de l’esprit d’origine. Conçu par nous comme un bel instrument (23 000 m2 utiles) de coopération internationale pour la mondiale Francophonie – ce mot ayant hélas été rayé de notre intitulé – le projet semble aujourd’hui destiné à rester le beau musée interactif de 2 000 m2, sorte de mausolée de la langue française. Mépris de fer, mépris flambard à l’égard de nos associations – d’ailleurs occultées dans votre discours d’inauguration – et surtout de la cause. La Commission européenne doit y installer l’Alliance pour les technologies des langues. Pouvons-nous encore espérer qu’elle n’aura pas, dans ce temple-mausolée du français, comme langue de travail (prescrite dans une offre publique d’emploi du directeur), le seul anglais ? … Pied-de-nez ?!

Monsieur le Président, tout cela est aussi votre « succès ». Ces faits et pratiques néfastes confortent en effet en Europe la voie royale de l’anglais pour porter un pouvoir euro-atlantique dont nos peuples ne sont pas tous friands…

Le Sommet de la Francophonie d’octobre 2024 entendra louanges et comptes rendus flatteurs sur ces JO et la Cité internationale, voilant les mauvaises nouvelles du français et de la Francophonie mondiale. En vue de ce Sommet, ALF travaille à des manifestations pacifiques, et le Haut Conseil à présenter – en contre-point positif ! – une autre politique d’État bien nécessaire à notre cause.

Veuillez, Monsieur le Président, recevoir l’expression de notre fervent espoir de retrouver bientôt à l’Élysée – par un nécessaire changement radical de votre « logiciel » ?? – un pouvoir suprême servant les intérêts fondamentaux du pays.

Le français et la Francophonie en sont : cela fut fort brillamment illustré depuis François 1er, jusque dans notre dernière grande époque 1958-74.

Pour le Haut Conseil international de la Langue française et de la Francophonie, son cofondateur Georges Gastaud, professeur de philosophie, Président d’un mouvement progressiste et de l’association C.O.U.R.R.I.E.L ; et son cofondateur et Secrétaire général Albert Salon, docteur d’État ès lettres, ancien ambassadeur, cofondateur et président d’honneur d’Avenir de la Langue française (ALF).

Et les 51 autres signataires associatifs et personnels, dans le relevé ci-joint.

Signataires :

Liste des associations et personnalités de la société civile approuvant la lettre ouverte au Président de la République

Associations approuvant la lettre ouverte au Président de la République :

  • Daniel Ancelet, vice-président de l’Académie de la Poésie française ;
  • Gérard Bissainthe, anc. recteur et ministre Haïti, pt du FFI-Monde ;
  • Catherine Distinguin, présidente d’Avenir de la Langue française (ALF) ;
  • Philippe Carron, président du collectif Langue française, Suisse romande ;
  • Pierre-Louis Douheret, Président de Justice pour la Langue française (JLF) ;
  • Serge Dubief, président de l’Entente-Île-de-France-Québec, adm. d’ALF ;
  • Valérie Faisien, présidente du mouvement Dites-le en français ;
  • Denys Ferrando-Durfort, président de Le Français en partage ;
  • Henri Fouquereau, SG du Forum pour la France ;
  • Georges Gastaud, président-fondateur de C.O.U.R.R.I.E.L ; cofonda HCILFF ;
  • Alfred Mignot des Campani, directeur-fondateur de AfricaPresse ;
  • Daniel Miroux, (Nelle Calédonie), Présdt de l’Alliance Champlain à Nouméa ;
  • Jacques Myard, Pt de l’Acadé du Gaullisme, député hon. ; maire Maisons-Laffitte. ;
  • Sébastien Nantz, président du Rassemblement pour la France ;
  • Jean-Paul Perreault, président d’Impératif françaisau Québec ;
  • Jean-Luc Pujo, président des Clubs Penser la France ;
  • Philippe Reynaud, prést : Défen. de la Langue fr. (DLFen Pays de Savoie ;
  • Jean-Marie Roussignol, prt Institut Coopérat. av. l’Europe orientale (ICEO) ;
  • Albert Salon, fondateur et SG du Haut Conseil (HCILFF) ; pt du FFI-France ;
  • Ilyes Zouari, (fra-tunisien) présdt CERMF, mb. de Académie Carpette anglaise ;
  • …/…

Personnalités hors associations :

  • Ivan Barko, (Australien), prof honor universités Australie : Études françaises ;
  • Alain Bentolila, universitaire linguiste ;
  • Lucien Berthet, SG DLF-Savoie ;
  • Gérard Cartier, poète ;
  • Gérard Charpentier, architecte-archéologue ;
  • Alain Corvez, colonel d’armée (H) ;
  • Christian Darlot, chercheur ENST ; livre « le français dans les sciences » ; mb ALF ;
  • Serge Duhamel, ancien Inspecteur général de l’Éducation nationale ;
  • Charles Durand, essayiste militant pour les sciences en français ;
  • Laure Fouré, haut fonctionnaire desFinances, conseillère jurid. d’associations HC ;
  • Francis Gandon, doct d’État scien. du langage, prof. honor. 2 univ de Madagascar ;
  • Claude Gaucherand, contre-amiral (2S) de l’Aéronautique navale ;
  • Jean-Yves Gresser, mb de la Commission de Terminologie des Finances ;
  • Helios Jaime, (Argentin), astrophysicien en France, épistémologue des sciences ;
  • Alain Layet, administrateur de l’AFRAV et d’Oser le français ;
  • Jeannie Longo, pluri-championne olympique et du monde en cyclisme ;
  • Jean-Pierre Luminet, astrophysicien, Observatoires de Paris et Marseille ;
  • Delphine-Élodie Mairiaux, cheffe d’entreprise engagée : Tyche Corp. ;
  • Yves Mansuy, retraité de la Fonction publique, mb d’ALF;
  • Muriel Morin, ex présidte de l’Assoc. Informaticiens de LF (AILF) ; SGa d’ALF ;
  • Michel Mourlet, écrivain, auteur du « Discours de la langue » (1985) ;
  • Alain Naudet, ancien présdt du Cercle littéraire des Écrivains Cheminots (CLEC) ;
  • Jacques Nikonoff. haut fonctionnaire, économiste ;
  • André Pérois, anc.pdt Chambre Nationale Entreprises de Traduction ; admin. ALF ;
  • Christophe Réveillard, professeur de géostratégie à la Sorbonne ;
  • Jean-Marie Rouart, de l’Académie française, écrivain (« La Bataille » et alii) ;
  • Marc Rousset, économiste, essayiste ;
  • Ralf Stehly, prof. émérite Univ. de Strasbourg, histoire. des religions et islamologie ;
  • Françoise Tétu de Labsade, prof Uni Laval, fonda. « Année francoph.internatio. »;
  • Claude du Trémolet, général (2S), pt Amicale l’École militaire de Haute Montagne ;
  • Françoise Zemmal, documentaliste, chargée de mission au HCILFF.
  • …/…

« Alain DELON, la France » #PenserlaFrance

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Communiqué du mercredi 21 août 2024 – 23h00

La disparition d’Alain Delon remplit le cœur des Français d’une nostalgie doucereuse.

Chacun de nos esprits semble trouver bonheur à replonger dans cette France, à la fois si proche et si lointaine, dont le parfum enivre encore ceux qui ont à cœur le souci de la Nation.

Alain Delon ne représente pas simplement l’épisode heureux d’une France fantasmée par une génération de Français.

Figure iconique du Cinéma Français au rayonnement mondial, Alain Delon renvoit l’image d’une France triomphale, de prestige et de prestance, de caractère et de générosité, d’engagement et de sacrifice.

Par quel secret Alain Delon portait-il chacune de ces vertus françaises ?

Enfant de France, il incarnait l’histoire de l’après-guerre, de la décolonisation, et du prestige gaulliste, un pan entier de notre histoire nationale entre gloire et déconvenue.

Comme Jean-Paul Belmondo (1) – mais différemment – il était devenu peu à peu un monument personnifié de l’esprit français.

Cette France nous manque à tous.

Qui donc a soldé notre capital national – économique, culturel, spirituel – pour accepter de voir la France sombrer dans une médiocrité pitoyable ?

Alain Delon avait fait connaitre sa réponse.

Elle était non dépourvue d’une juste mesure.

Nos dirigeants ne sont plus à la hauteur quand ils n’ont pas trahi.

En cela aussi, Alain Delon aura touché le cœur des Français. Il aura transmis la nostalgie de la grandeur, de l’indépendance, du caractère… toute chose qu’il est  de bon ton de condamner aujourd’hui.

Mais les Français ne sont-ils las de leur propre lassitude ?

Le goût du relevé, de l’insolence, du panache n’est-il pas le passage obligé du relèvement de la France ?

Alain Delon va nous manquer pour tout cela… au moment où la France commence à cultiver ses propres paradoxes, les dépasser, comme pour affirmer une volonté nouvelle, celle de se retrouver.

Notre époque qui vient annonce accoucher péniblement du retour de la France. Elle aurait bien plu à Alain Delon. Dommage.

Saluons cet acteur multiforme qui l’avait compris car il en avait épousé depuis toujours l’intime dessein.

Alors, Oui ! Merci à « Alain Delon, la France ».

Les Clubs Penser la France adressent à sa famille et à ses amis toutes leurs pensées les plus chaleureuses.

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(1) « Jean-Paul #Belmondo, une figure française ! » (Penser la France) – 9 septembre 2021 –  https://www.politique-actu.com/actualite/jean-paul-belmondo-figure-francaise-penser-france/1810368/

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Les Clubs « Penser la France » militent pour les trois sorties immédiates : Sortie de l’OTAN – Sortie de l’UE – Sortie de l’EURO.

Source: www.penserlafrance.fr

Dimanche 25 août 2024 : 80e anniversaire de la Libération de Paris – Messe – Paris (Fondation du général de Gaulle)

À l’occasion du 80e anniversaire de la Libération de Paris,

Monseigneur Laurent Ulrich
Archevêque de Paris

Monsieur Hervé Gaymard
Président
Fondation Charles de Gaulle
Général (2s) Jean-Paul Michel
Président
Fondation Maréchal Leclerc de Hauteclocque
vous prient de leur faire l’honneur d’assister

À LA MESSE SOLENNELLE DE FONDATION

célébrée par Monseigneur Laurent Ulrich,
Archevêque de Paris

EN L’ÉGLISE SAINT-GERMAIN L’AUXERROIS
Le dimanche 25 août 2024 à 10 heures

« à l’intention du général de Gaulle, du général Leclerc,
des officiers, sous-officiers et soldats, de tous les résistants, déportés
et victimes de la guerre de 1939-1945 et pour la paix. »

14 JUILLET 2024 : Fête Nationale ! #PenserlaFrance

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LA MARSEILLAISE par Roberto ALAGNA !

Bon 14 Juillet à tous !

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Le 14 juillet 2024, la France célèbre la Fête de la fédération et

la prise de la Bastille.

Une délégation des Clubs « Penser la France »

emmenée par Jean-Luc Pujo

assistera au défilé militaire AVENUE FOCH

le DIMANCHE 14 juillet 2024.

RDV – 8H30 –Métro VICTOR HUGO

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ATTENTION : 12H30/16H00

BUREAU POLITIQUE NATIONAL EXCEPTIONNEL – PARIS

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[CODE OPE : Pierre RATEAU –

CODE FACE selon les groupes : Henri Poily ou Arthur ou Rossi]

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ARCHIVES

Le 14 juillet : La France fête quoi ?

14 juillet A2a

Relire le discours de Jean-Luc Pujo

prononcé le 14 juillet 2020 Place de la Bastille.

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14 juillet : « Renouer avec

«l’esprit de 89 » ! » 

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Intervention de Jean-Luc Pujo – les Clubs « Penser la France » 

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#Legislatives2024 – 2ème  Tour : « Pour le Retour de l’autorité de l’Etat » #PenserlaFrance – Mercredi 3 juillet 2024 – 6H00

Communiqué du Mercredi 3 juillet 2024 – 6H00

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Ardemment souhaitée, le 1er tour des élections législatives 2024 a permis aux Français de sanctionner lourdement la majorité présidentielle sortante. Nous pouvons nous en réjouir.

Les perspectives ouvertes par le 2ème tour offrent maintenant aux Français un choix entre deux options politiques très différentes.

Le 2ème tour revêt pour cela un caractère historique exceptionnel.

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La première option politique portée par les candidats du Nouveau Front Populaire met en évidence une des priorités essentielles pour notre pays : la priorité sociale et économique.

Avec la hausse des salaires les plus modestes, ces candidats disent l’urgence de notre situation économique et sociale. Ils ont raison.

La deuxième option politique portée par les candidats du Bloc national met en évidence une autre priorité essentielle pour notre pays : la priorité du retour de l’autorité de l’Etat, de la loi et de la frontière.

Parce que le délitement de la règle commune assurant les fondements du contrat social français met en grave danger notre Nation, les candidats du Bloc national  disent l’urgence du rétablissement de l’autorité de l’Etat sur tout le territoire national. Ils ont raison.

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Les Français vont ainsi devoir opérer un choix entre deux priorités essentielles. Comment trancher ?

Pour trancher, il apparait nécessaire de s’interroger sur le degré de l’urgence de notre situation nationale et sur la nature de cette urgence.

Pour les Clubs « Penser la France », l’amélioration du contrat social français par le progrès économique et social est en effet une urgence, mais celle-ci s’efface devant le danger qui menace la pérennité et l’existence même de notre contrat social.

En effet, aujourd’hui, notre contrat social est en situation de péril imminent du fait de la faillite de l’autorité de l’Etat, précisément en charge d’assurer sa garantie existentielle.

L’urgence supérieure pour la France apparait donc comme étant celle de rétablir, d’abord et avant tout, l’autorité de l’Etat.

Pour l’ensemble de ces raisons, les clubs « Penser la France » appellent solennellement les Français à voter pour les candidats du Bloc national, seuls capables de relever ce défi.

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Bien sûr, les clubs « Penser la France » formulent le vœu que le prochain gouvernement issu de cette nouvelle majorité ait à cœur de cultiver la concorde nationale par l’amélioration indispensable de la justice économique et sociale.

Enfin, pour conclure, les clubs « Penser la France » estiment – à l’unanimité – que seul le Bloc national est en capacité de s’opposer à la décision irresponsable d’Emmanuel Macron d’envoyer des troupes françaises combattre sur le sol ukrainien, ainsi de mettre en danger la vie de milliers de jeunes Français sans raison stratégique valable.

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A la veille de ce 2ème tour, les clubs « Penser la France » encouragent les Français à faire face à leur destin en toute liberté et responsabilité citoyenne.

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#penserlafrance

CONTACT: penserlafrance@penserlafrance.fr – 01.73.64.98.68

Les Clubs « Penser la France » – mouvement gaullo-communiste – travaillent au soutien de plusieurs initiatives politiques de refondation autour d’un  « nouveau Conseil National de la Résistance » réunissant communistes authentiques et gaullistes authentiques et au-delà tous citoyens militants pour l’indépendance de la France.

Les Clubs « Penser la France » militent pour les trois sorties immédiates : Sortie de l’OTAN – Sortie de l’UE – Sortie de l’EURO.

Source: www.penserlafrance.fr

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#Legislatives2024 – 1er Tour : « Eliminer définitivement le macronisme » #PenserlaFrance – Mercredi 26 juin 2024 – 14H00

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Communiqué du mercredi 26 juin 2024 – 14H00

La dissolution de l’Assemblée nationale – aussi surprenante qu’improvisée – permet aux Français de se saisir d’une opportunité réclamée : reprendre la parole.

A la veille de ce premier tour du dimanche 30 juin 2024, les Clubs « Penser la France » encouragent les Français à se saisir de cette élection à deux tours pour sanctionner lourdement la majorité sortante.

Depuis 2016, les Clubs « Penser la France » ont lutté ardemment contre le macronisme car il annonçait une trahison de la France. Nous n’avons pas été déçus.  Le macronisme a été un piège pour notre Nation, affaiblissant notablement l’Etat et travaillant à sa dilution insupportable dans une structure technocratique dirigée par l’étranger. Cette politique a été menée avec le plus grand mépris pour notre peuple.

Il faut aujourd’hui sanctionner lourdement cette politique de trahison nationale.

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Conformément à l’esprit des lois électorales,  le 1er tour a pour fonction d’éliminer ; le 2ème tour de choisir.

Aussi, pour ce 1er tour, Dimanche 30 juin 2024, les Clubs « Penser la France » appellent les Français à voter, selon leur inclinaison, soit pour une majorité LFI élargie, soit pour une majorité RN élargie.

Mais surtout, nous appelons solennellement les Français à éliminer définitivement le macronisme de la vie politique française.

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#penserlafrance

CONTACT: penserlafrance@penserlafrance.fr – 01.73.64.98.68

Les Clubs « Penser la France » travaillent au soutien de plusieurs initiatives politiques de refondation autour d’un  « nouveau Conseil National de la Résistance » réunissant communistes authentiques et gaullistes authentiques et au-delà tous citoyens militants pour l’indépendance de la France.

Les Clubs « Penser la France » militent pour les trois sorties immédiates : Sortie de l’OTAN – Sortie de l’UE – Sortie de l’EURO.

Source: www.penserlafrance.fr

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Appel du 18 juin : « En finir avec le Macronisme ! » – Discours de Jean-Luc Pujo, pdt des Clubs #PenserlaFrance – 18 juin 2024 – Paris – (VIDEO 06:15)

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Manifestation anniversaire de l’Appel du 18 juin !

48, rue du Four – Paris – Immeuble où se déroula la première réunion clandestine du CNR historique en mai 1943

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Discours de Jean-Luc Pujo, président des Clubs Penser la France – Manifestation du 18 juin 2024 – Anniversaire de l’Appel du 18 juin – Paris

En substance : Anniversaire de l’Appel du 18 juin – se souvenir – se ressourcer – Le contexte politique mondial – vers la guerre – Résistance total à ce désordre imposé par la finance mondiale – Le contexte politique Français – Il faut d’urgence travailler au redressement moral et spirituel de la France autant qu’à son redressement économique, social et politique – Legislative 2024 – Faire barrage total à la majorité présidentielle – en finir avec le macronisme – Les Français y sont prêts – Une nouvelle majorité parlementaire : soit LFI élargie, soit Rassemblement national élargie – quelle que soit la majorité : Deux priorités magistrales – 1° Faire retour à la France en tout point, en tout lieu – 2° Renouer avec l’esprit élevé de la France – L’esprit du Conseil national de la Résistance (CNR) – mariant exigence de l’Ordre républicain total avec l’exigence de justice sociale pour tous les Français – C’est dans l’esprit élevé de la France, celui du programme du CNR, que se trouvent les ferments du relèvement de la France de demain.

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#penserlafrance

CONTACT: penserlafrance@penserlafrance.fr – 01.73.64.98.68

Les Clubs « Penser la France » travaillent au soutien de plusieurs initiatives politiques de refondation autour d’un  « nouveau Conseil National de la Résistance » réunissant communistes authentiques et gaullistes authentiques et au-delà tous citoyens militants pour l’indépendance de la France.

Les Clubs « Penser la France » militent pour les trois sorties immédiates : Sortie de l’OTAN – Sortie de l’UE – Sortie de l’EURO.

Source: www.penserlafrance.fr

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Mardi 18 juin 2024 : Anniversaire de « l’Appel du 18 juin » (Penser la France) VIDEO – Paris – 18H30

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Anniversaire de « l’Appel du 18 juin »

La VIDEO de toute la manifestation !

 

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APPEL à TOUS LES PATRIOTES !

RETROUVER L’ESPRIT DU CNR !

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Comme chaque année, les Clubs « Penser la France »

organisent un rassemblement pour célébrer

« L’Appel du 18 juin » !

MARDI 18 JUIN 2024 à 18H30

LIEU : 48 rue du Four, 75006 PARIS 

Métro MABILLON

immeuble où se déroula la première réunion clandestine du CNR en mai 1943* 

*Rue du Four, la Résistance réalise son unité et, dès sa création, le CNR se range derrière de Gaulle. Le CNR n’est l’instrument ni de la droite ni de la gauche. Par sa composition même, il est le reflet de la France en lutte dans sa diversité.

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Hymne des Clubs « Penser la France ».

– Le chant du départ – 

Parole : Marie-Joseph CHENIER & Musique : Etienne Nicolas MEHUL

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 « Je me souviens » et « je résiste ! »

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 Au programme :

– Lecture de « l’Appel du 18 juin 1940 du général de Gaulle »

– Prise de parole : JLuc Pujo pour « Penser la France » (cliquer sur le lien)

puis prises de parole des Invités Communistes et Gaullistes !

– « Chant du départ » de 1794.

Contact : penserlafrance@yahoo.fr – 01.73.64.98.68 –

JLuc PUJO – 06.83.23.66.64

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VISITER l’HISTORIAL CHARLES DE GAULLE

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#Européennes2024 : BOYCOTT TOTAL ! #PenserlaFrance – 7 juin 2024

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« Imagine-t-on le général de GAULLE se faire élire à VICHY … Pour résister » ? JL Pujo

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« L’Europe aspire visiblement à être gouvernée

par une commission américaine » Paul Valéry.

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« #6Juin : Le Général #deGaulle refuse de participer aux commémorations du débarquement de 1944  ! En 2024, nous sommes dirigés par des agents US ! » Jean-Luc Pujo

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Communiqué national du vendredi 7 juin 2024

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Tous les jours, l’Europe viole la souveraineté de la France !

Or, sans souveraineté, la France n’est plus une Nation libre !

Mieux, la Commission européenne annonce aujourd’hui par la voix de Mario Draghi (1) et Enrico Letta (2) avec la bénédiction d’Ursula von der Leyen, la mise en œuvre d’un véritable pronunciamiento par l’adoption programmée d’un « 28ème régime » dérogatoire, véritable coup d’Etat contre notre Nation, contre la France.

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Dans ce contexte d’une gravité sans précédent, participer – sous quelque forme que ce soit – au fonctionnement des institutions européennes, précisément « voter le 9 juin 2024 », c’est devenir complice d’un crime contre la Nation, d’un crime contre la France.

Nous savons tous – pour l’avoir maintes fois démontré – que l’assemblée de Strasbourg n’est pas un Parlement.

Cette assemblée n’a aucun pouvoir législatif, ne représente ni peuple ni nation car seule la France peut se proclamer « Nation libre » pour un « Peuple libre ».

Dans ce contexte juridique et institutionnel, les candidatures prétendument « nationalistes » ou « souverainistes » ne sont au mieux, qu’une immense erreur ; au pire, qu’un leurre criminel.

Ce viol collectif de la Nation, auquel nous invitent à participer partis politiques, syndicats, fondations, associations et tous les médias sous financements publics devrait – tout au contraire – encourager tous les Français amoureux de la France à organiser un véritable soulèvement démocratique.

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Les clubs « Penser la France » – comme continument depuis 2009 (3) – appellent tous les Français à boycotter massivement le faux scrutin infamant du 9 juin 2024.

Les clubs « Penser la France » appellent les Français à rejoindre toute organisation de résistance contre l’UE inscrite dans la fidélité à l’esprit et au programme du Conseil National de la Résistance (CNR) (4), afin de préparer le sursaut patriotique dont la France a besoin.

D’urgence, la France doit recouvrer toute sa souveraineté militaire et diplomatique, économique et sociale, pour bâtir un véritable avenir de paix et de prospérité en Europe aujourd’hui gravement menacé (5).

Non au viol de la Nation !

Non au pronunciamiento de la Commission européenne ! 

Résister, c’est Boycotter et s’insurger !

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#penserlafrance

CONTACT: penserlafrance@penserlafrance.fr – 01.73.64.98.68

Les Clubs « Penser la France » travaillent au soutien de plusieurs initiatives politiques de refondation autour d’un  « nouveau Conseil National de la Résistance » réunissant communistes authentiques et gaullistes authentiques et au-delà tous citoyens militants pour l’indépendance de la France.

Les Clubs « Penser la France » militent pour les trois sorties immédiates : Sortie de l’OTAN – Sortie de l’UE – Sortie de l’EURO.

Source: www.penserlafrance.fr

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Notes

1 – « Un changement radical est nécessaire » – discours de Mario Draghi prononcé à Bruxelles le 16 avril 2024 par lequel l’ancien président du conseil italien et ancien président de la banque européenne, plaide pour un changement radical de politique dans le contexte international actuel, par la mise en place d’une coopération renforcée sous la forme d’un 28e régime valant intégration approfondie entre les Etats signataires. Un coup d’Etat des élites contre notre peuple.

2 – Enrico Letta – ancien président du conseil italien – a présenté jeudi 18 avril 2024, à Bruxelles, son rapport « Much more than a market » très bien accueilli par les marchés financiers ( !) visant à plus d’harmonisation et de pouvoirs renforcés ;

3 – Les clubs Penser la France appellent à boycotter ces élections européennes depuis 2009, au lendemain de l’adoption du traité de Lisbonne véritable copier-coller du projet de constitution européenne rejeté le 29 mai 2005 par le peuple Français, une haute trahison comme toute la construction européenne ;

4 – En ce sens, voir notamment « #Europeenne2024 : Appel au boycott citoyen des élections européennes du 9 juin 2024 ! » – Un appel du monde du travail et de la gauche véritable emmenée par le Pôle de Renaissance communiste en France (PRCF) que les Clubs Penser la France – organisation gaullo-communiste – ont bien sûr rejoint – https://www.politique-actu.com/opinion/europeenne2024-appel-boycott-citoyen-elections-europeennes-juin-2024/1836271/ ;

5 – L’Union Européenne sous controle OTAN a non seulement été incapable de travailler à la paix au proche Orient mais court aujourd’hui à la guerre générale en Europe en finançant par la dette une guerre ukrainienne contre les intérets stratégiques de la France. Nous devons refuser une Europe va-t-en-guerre !

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