VŒUX présidentiels 2019 : « Une alliance postmoderne entre Jean Monnet et le Maréchal Pétain » (Penser la France)

2 janvier 2019

– communiqué national –

Mercredi 2 janvier 2019 – 19h00.

Les vœux aux Français d’Emmanuel MACRON sont plus que surprenants.

Il a tenté – avec un talent d’illusionniste certain – de proposer, une fois de plus, un projet ambivalent aux Français.

Cette ambivalence – qui confine à la malignité – dissimule le véritable projet pour lequel Emmanuel Macron a été élu-coopté à la présidence de la République.

Le dessein secret de ce projet tient dans le mariage entre, d’une part, un projet européiste, post national et post politique, celui hérité de Jean Monnet, et d’autre part, un projet de collaboration-soumission à l’Allemagne, celui d’octobre 1940, hérité du Maréchal Pétain.

Derrière les éléments techniques de propositions sociale et fiscale, les enjeux dissimulés sont clairs. Il s’agit pour la France de procéder au vidage de sa toute puissance : abandon du siège au Conseil de sécurité au profit de l’Allemagne, abandon de la filière nucléaire civile et adoption du mix énergétique allemand, abandon de la dissuasion nucléaire tactique encore au profit de l’Allemagne, sabordage de toute notre industrie lourde au profit de l’Allemagne, mise en œuvre d’un gouvernement mixte franco-allemand, adoption d’un parlement mixte franco-allemand, promotion de la notion de souveraineté européenne pour mieux dire l’abandon de la souveraineté nationale.

Emmanuel Macron est l’artisan majeur de ce projet d’abandon. Il a précisément été élu-coopté – il faut le répéter – pour réaliser cette immense manœuvre contre la France.

Face à ce projet dissimulé, des résistances multiples – à la vigueur insoupçonnée – se dressent maintenant dans le pays.

Surpris, l’exécutif  a rapidement été dépassé.

En quelques jours à peine, au mois de novembre dernier, le gouvernement est apparu totalement décrédibilisé. A son tour, au mois de décembre,  le Parlement a démontré qu’il ne servait strictement à rien.

Emmanuel MACRON s’est ainsi retrouvé en première ligne. Au moment même où il pouvait encore agir, il décida d’adopter un ton patelin démontrant une incompréhension totale de la crise politique.

Depuis, l’homme – totalement désemparé – multiplie les erreurs de posture, déconnecté de la réalité politique.

Il ignore depuis maintenant plusieurs semaines que son avenir politique est directement en jeu.

Il ne sait pas que la légitimité tirée d’une élection présidentielle au suffrage universel – même forcé – ne craint rien tant les agitations de la rue, c’est-à-dire la Révolution. Elle vient.

Nous allons maintenant entrer dans une crise politique majeure qui peut entrainer avec elle la chute du régime étant donné l’incompétence politique et intellectuelle de nos dirigeants.

Que font-ils du reste ?

L’exécutif passe son temps  à « gagner du temps ».  Après avoir abandonnés drapeaux et oriflammes en rase campagne,  il tente d’organiser un « grand débat national » dont la vocation est limpide. Après 3 mois de discussions, quoi de mieux que des Elections européennes au printemps ?

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Il est d’ores et déjà prévisible que la France va maintenant plonger dans une véritable crise de régime et que les institutions elles-mêmes vont à leur tour être menacées.

Le temps de la dissolution de l’Assemblée Nationale – qui aurait permis au Président de la République de préserver les institutions – est en train de passer. Au 31 janvier, il sera trop tard.

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Voilà le vent de l’Histoire qui se lève ! Encore la France ! Toujours la France !

Comment, patriotes, ne pas s’en réjouir ?

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Les Clubs « Penser la France » ont participé depuis le 17 novembre dernier à toutes les manifestations nationales et entendent poursuivre cette mobilisation dont l’issue est sans équivoque : il faut redonner la parole au peuple.

Cette parole souveraine a été confisquée depuis que le vote référendaire du 29 mai 2005 a été piétiné par le vote du Traité de Lisbonne en février 2008 par un Parlement corrompu réuni en Congrès. Depuis lors, nous pouvons considérer que « le Peuple de France est aux arrêts ».

Aussi, les Clubs « Penser la France » demandent – pour la huitième semaine consécutive – solennellement au Président de la République de dissoudre l’Assemblée Nationale, de redonner la parole au Peuple, qui s’exprimera ainsi dans le cadre de nos institutions.

En ce 2 janvier 2019, les Clubs « Penser la France » appellent les Français à  « Poursuivre, amplifier, durcir le mouvement » des Gilets Jaunes, immense mouvement d’espérance populaire surgit du cœur de la Nation.

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Les Clubs « Penser la France » travaillent au soutien de plusieurs initiatives politiques de refondation autour d’un  « nouveau Conseil National de la Résistance » réunissant communistes authentiques et gaullistes authentiques et au-delà tous citoyens militants pour l’indépendance de la France.

Les Clubs « Penser la France » militent pour les trois sorties immédiates : Sortie de l’OTAN – Sortie de l’UE – Sortie de l’EURO.

Source: www.penserlafrance.fr